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Contexte & cie » Même sur Die ac Nocte, nous possédons quelques règles, un univers bien précis à apprivoiser, à comprendre. Pour ce faire, cette partie a été faite pour vous. C’est ici que vous commencerez votre aventure, que vous trouverez de quoi comprendre le forum.
VOUS LES COPAINS, JE NE VOUS OUBLIERAI JAMAIS il segreto della sorpresa 2521561984
Après une jolie année, DAN ferme ses portes. Vous pouvez lire les petites explications et les petits mots du staff ici il segreto della sorpresa 3308333368
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 il segreto della sorpresa

         

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MessageSujet: il segreto della sorpresa   il segreto della sorpresa EmptyDim 14 Oct - 12:09



il segreto della sorpresa

Manhattan & her Secret

You must know me, I'm one of your secrets.
From what I see, you're trying to hard to keep it. Well I belong to you.
I belong to you. I belong to you.


 
La journée avait commencé tôt pour moi… J’avais accepté de remplacer une fille au restaurant et du coup, je devais faire un double chiffre. Commencer le matin et terminer le soir. commencer au petit café-déjeuner et terminer au restaurant la Pergola le soir. La jeune que je remplaçais avait 18 ans. Ils l’avaient engagé, car elle plaisait à la gent masculine, mais non pas parce qu’elle était motivée et avait du talent dans le domaine. Elle s’absentait souvent pour aucune raison. Je la soupçonnais d’être la fille d’un des clients fortunés du restaurant. Quoi qu’il en soit, je commençais à 8h le matin et je terminais à 23h30 le soir. Je devais donc m’activer pour aller travailler. Je passai sous la douche rapidement, plaçant mes cheveux roux dans un petit bonnet tout ridicule pour empêcher qu’ils soient mouillés. Je les avais lavés la veille, pas besoin de recommencer. Une fois sortie, je courus dans ma chambre enfiler le petit pantalon noir moulant que le propriétaire nous demandait de porter. Hop, la chemise blanche et le ceinturon pour l’argent récolté. La journée allait s’annoncer longue et pénible, mais au moins, j’avais toujours mon téléphone dans la salle des employés. Pendant les pauses, je pouvais me détendre avec cet objet du démon. Celui qui accapare tous les jeunes désormais au lieu d’aller au parc jouer avec des copains.  Bon d’accord, ils n’ont pas grandi comme moi, près de la nature et des transformations des soirs de pleine lune, mais au moins… j’étais constamment dehors. Eux, leurs yeux sont rivés sur un écran minuscule au lieu de voir les leurs en face à face. Bref, j’utilisais mes pauses pour faire des plans pour le soir.

Aujourd’hui, je ne savais pas trop quoi faire. Je pouvais sortir au bar où les résidents de médecine se tenaient …ou faire complètement autre chose. Aller marcher, aller manger, aller courir, etc. Les portes étant grandes ouvertes pour moi. Il était encore tôt et j’avais toute la journée pour me décider. Mon débardeur sentait déjà le café frais moulu de la machine à Cappuccino. Je voyais les familles se disperser dans la salle pour y prendre un petit déjeuner. L’homme journal à la main et la femme s’occupant de la discipline de leurs enfants. Ils avaient de la chance de pouvoir se permettre ce genre de sortie et dans ce restaurant. Bref, je prenais leur commande une à une et leur servit leur tasse de café au lait fourni par la maison. J’affichais toujours un beau sourire et des paroles polies. J’aimais travailler le matin, car les hommes aux mains baladeuses n’osaient pas le faire lorsqu’il faisait plein soleil. Plusieurs hommes d’affaires venaient petit-déjeuner, déjeuner et diner au restaurant. On les appelait les VIP. Les hommes habitués qui demandaient toujours la même chose, mais à qui nous devions porter une attention particulière. Il s’agissait surtout de donateurs…

Bref, vous avez compris le principe, j’ai servi toute la matinée et la journée également. Vers 16h00 j’avais eu droit à une heure de pause pour pouvoir manger. Le chef m’avait préparé mon plat préféré de pâtes, les carbonara aux lardons. Il était toujours aussi gentil avec moi. Il devait donc, m’apprécier. Je sortis mon téléphone de ma poche pour texter la seule personne avec qui je voulais passer la soirée. La personne qui me permettait d’arrêter de penser à ce que les autres voulaient de moi. Timaé. Ce jeune homme était un néphilim… ce qui faisait de lui par ricochet, mon ennemi numéro 1. L’un des siens avait tué ma mère et depuis mon père voulait qu’on leur porte une haine toute prescrite. Je les détestais certes, mais lui… JE NE POUVAIS PAS.! Il était différent, il m’avait sauvé la vie. Il aurait pu me laisser là à me vider de mon sang au sol et laisser mes poumons s’obstruer pour bloquer ma respiration, mais au contraire, il m’avait aidé. Je fis donc un tour dans mes contacts téléphoniques et cliquai sur celui où il était inscrit : Segreto. Ce n’était pas subtil, mais en même temps, personne ne pouvait savoir de qui il s’agissait puisqu’il n’y avait pas de nom. Je lui proposai de me rejoindre à la cabane et à son habitude, il me répondait toujours un peu en voulant y gagner quelque chose. Puis la conversation se termina avec «Boire dans la cabane et j’amène quelqu’un d’autre…» MAIS QUI ÉTAIT-CE QUELQU’UN D’AUTRE. N’avait il pas compris la logique du secret? J’allais découvrir bien assez rapidement de qui il s’agissait.

Il était 21h du soir, je marchais donc vers la cabane pour m’y changer et passer en quelque chose de plus décontracter. Un petit jean et un chandail jaune qui laissait paraître mon nombril et mes épaules. Je pris un roman et me détendis à attendant sa présence. Un peu de détente avant l’acte interdit… Le voir. N’allez pas penser que je coucherais avec lui… Enfin… pas maintenant… Je n’étais pas prête. Après 1h de lecture, j’entendis les branches de l’arbre craquer. Je me disais que cela ne pouvait qu’être lui, personne ne connaissait l’existence de cette cabane à part ma famille et lui. Je me dirigeai vers une des fenêtres :

«Timaé c’est toi?»

 


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Dernière édition par Manhattan I. Fraser le Mar 16 Oct - 11:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: il segreto della sorpresa   il segreto della sorpresa EmptyDim 14 Oct - 22:54



► October 2018, into the wood
il segreto della sorpresa
Manhattan & Time


Je me suis levé tard aujourd'hui, comme à mon habitude. Il est 11h48, lorsque j'ouvre les yeux pour la première fois. C'était un réel plaisir pour moi de dormir. Une véritable passion. Je fais parti de ces personnes qui ont énormément besoin de dormir pour être en bonne santé. J'ouvre difficilement les yeux, j'attrape mon téléphone, puis commence à le parcourir. J'ouvre mes notifications et les divers applications installées sur mon smartphone. Le temps passe sans même que je m'en rende compte. Il est maintenant 12h24, mince, il serait peut-être temps que je sorte de mon lit. Je soupire un bon coup et décide de sortir de la couette. Sans même réfléchir, je pars direction le frigo, l'ouvre et attrape du jus de fruit, ouvre la bouteille et bois au goulot. Je l'a repose et me dirige vers la salle de bain. J'allume l'eau en veillant bien qu'elle soit bien chaude et me faufile dessous une fois nu. Je commence à me laver, puis je me rince et reste sous l'eau pendant six bonnes minutes. J'étais bien là, personne pour me parler, pour me prendre la tête, je suis seul. J'adorais cette sensation de solitude et de silence que procure une douche. Je me rince le visage et éteins l'eau d'un geste rapide. J'ouvre la vitre et sort de la douche en attrapant une serviette. Une nouvelle journée commence. J'en avais pas spécialement envie. J'avais rendez-vous avec mes parents dans trente minutes pour manger avec eux. Ils allaient encore me faire la morale par rapport à mes fréquentations et mes convictions. J'avais vraiment la flemme d'assister encore à ce débat interminable. Mais il le fallait, malheureusement. Je m'habille alors d'un jean et d'un polo simple. Je prends mon portable, mes cigarettes, sa stèle et puis ses clés et sort de son appartement. je marche alors en direction du lieu de rendez-vous.

A mon arrivée, mes parents ne sont pas encore là. J'allume alors une cigarette et regarde mes messages. Ah, je viens de recevoir un sms de Manhattan "Cabane ce soir ?", me propose t-elle. Une sourire s'affiche alors sur mon visage. Je lui propose d'aller boire un verre tout les deux. Proposition qu'elle rejette, m'indiquant qu'on ne peut pas être vu ensemble. Je lui réponds alors : "Vas pour la cabane. j'inviterais quelqu'un d'autre". C'était une fille que j'avais sauvé, elle et ses frères pendant la rébellion. Des Nephilims avec qui j'étais voulaient la massacrer car c'est une louve. Seulement, sa beauté et sa pureté m'ont incité à la sauver. Je ne pouvais pas concevoir qu'on tue une personne sans défense. Elle n'avait que dix-sept ans, comme moi. Qu'est-ce qu'elle en savait elle de la rébellion ? Elle voulait juste vivre avec ses frères. Je l'ai donc caché et soigné. Une fois la rébellion finit, elle est partie et je ne l'ai pas revu pendant très longtemps. J'ai retourné chaque recoins pour espérer la revoir. Puis c'est arrivé. Elle me plaisait beaucoup, mais c'était trop compliqué pour elle et pour moi. Déjà, car je ne suis pas une personne faite pour une nana aussi bien qu'elle. Je suis un coureur de jupon, je n'ai eu qu'une longue relation de mes 14 à mes 16 ans et la fille m'a brisé en deux. J'étais dans une période où j'essayais d'établir une confiance en moi. Sauf qu'en faite, pendant plus d'un an, cette nana m'a trompé avec mon ancien meilleur ami. Autant vous dire que maintenant, la notion d'amour je ne l'a respecte plus. Je suis un gamin à femme, complètement immature et qui passe son temps à draguer et à s'amuser. Elle est bien trop respectueuse pour moi. Je ne veux pas la détruire comme moi j'ai étais détruis. Je préfère donc créer une barrière entre elle et moi, pour ne pas qu'elle se fasse de faux espoirs. Après, en vérité, je ne sais même pas si je lui plais. Ce qui est sur, c'est que moi, elle me plait ! Et quand je serai près, elle m'appartiendra.

(fin de journée, vers 20h00)

Je me prépare pour partir chez Manhattan, elle devrait être cher elle dans une heure trente environ. J'avale un truc à manger en vitesse avant de partir histoire de pas avoir l'estomac vide. Cela me fait plaisir de passer du temps avec elle, surtout après le repas "sublime" que j'ai passé avec mes parents. Je me mets un peu de parfum, enfile mes chaussures et une veste en jean. Et une fois avoir pris mes affaires, je pars direction "la cabane de Manhattan". Je marche dans les rues de Rome, puis petit à petit, la civilisation commence a disparaitre pour laisser place à la nature. Il faisait sombre, mais ça va, je ne suis pas un peureux. Puis, je connaissais le chemin aussi. Je commence à arriver à la cabane de Manhattan. Je monte à l'échelle et une petite voie douce lance un «Timaé c’est toi?». Je monte alors en silence. Arrivé devant la porte, j'attends un peu. Puis lache un « Bouh » en ouvrant la porte rapidement. Je vois Manhattan faire un petit bond. Je rigole alors. Puis je monte dans la cabane et embrasse le front de ma jolie louve.
CODE BY ÐVÆLING // groover par une licorne


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MessageSujet: Re: il segreto della sorpresa   il segreto della sorpresa EmptyVen 19 Oct - 16:27



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Manhattan & her Secret

You must know me, I'm one of your secrets.
From what I see, you're trying to hard to keep it. Well I belong to you.
I belong to you. I belong to you.


 
«Bouh!» entendis-je avant de sursauter. Il valait sans dire que depuis la guerre, j’étais toujours sur mes gardes. Je n’arrivais plus à rester aussi calme qu’avant. Je marchais seule la nuit en revenant de travailler et j’avais toujours mes clés dans le creux de mes doigts au cas où un assaillant viennent à ma rencontre. Pas très efficace me direz-vous, surtout que ce que je suis…Mais il valait mieux agir comme une jeune fille normale. Je deviendrais louve que si cela était nécessaire. Alors que je reculai sur moi-même lors de l’entrée fracassante de mon jeune néphilim adoré, il se faufila à l’intérieur. Je le regardais avec des yeux fâchés et la main sur le cœur, comme si celui-ci était prêt à bondir à l’extérieur de ma poitrine. « On ne t’a jamais dit de ne jamais surprendre un loup? Ou une fille? Tu aurais pu te faire attaquer ainsi!» C’était vrai, j’aurais pu l’attaquer et lui faire très mal… Il avait mis sa vie en danger juste pour me faire une mauvaise blague… j’avançai pour me mettre juste devant lui et le regardai d’un air sérieux avant de lui dire : « Ne me refais plus jamais cela Timaé. Tu sais que je suis jumpie… depuis tout ça. Je ne voudrais simplement pas qu’il t’arrive quelque chose, parce que tu m’as effrayée ok?» J’agissais toujours en jeune femme protectrice, mais je ne pouvais m’en empêcher. Je tenais trop à lui, pour que je le blesse par accident. Je pris la main du jeune homme et l’entrainer sur le petit sofa construit de latte de bois et recouvert de coussins moelleux. Je lui fis signe de s’asseoir alors que je faisais de même. J’avais ramener des restants du boulot et je me disais qu’il aurait peut-être faim : «Tu partages avec moi? Canard laqué à l’orange, pâte carbonara, légumes rôtis et bien sûr un tiramisu à la fin? Ça te dit? » Les chefs étaient toujours gentils avec moi et au lieu de jeter les restants à la poubelle, ils me les donnaient, car ils savaient que je pourrais les terminer. Un appétit de loup dirons-nous. Je me redressai pour attraper des couverts. Il y avait de tout dans ma cabane. Parfois, j’aimais bien y passer la nuit. Il y avait toujours un linge de rechange également. L’hiver, elle était moins utile, mais j’avais tout de même demandé à mon père de la rendre Itech pour pouvoir y brancher une chaufrette. Je tendis une assiette et une fourchette / couteau à mon ami. Il était le seul qui avait la permission de monter ainsi. Mes frères devaient toujours me demander la permission et y venir que quand j’étais présente. Ils avaient eu leur entre secret eux aussi, puisqu’ils s’intéressaient à l’électronique. Mania de surveilla. Cela ne me surprendrait pas de les voir dans les forces de l’ordre. Je ne pouvais m’empêcher de regarder Timaé d’un air juvénile. Comme si j’étais une petite fille émerveillée devant un nouveau jouet. Il me plaisait certes, mais je ne serais pas celle à faire le premier pas et avec sa réputation, il devait me prouver sa bonne volonté de s’engager un minimum. Il le faisait déjà en quelque sorte en répondant toujours présent à mes invitations. J’allumai les petites lumières de noël blanche qui faisait le tour de la cabane. Ça ajoutait une ambiance de calme. Je pris une bonne inspiration et lui servit un morceau de canard, un peu de peu de pâte et bien sûr une bière. Je lui offrai mon plus beau sourire en la lui donnant. «C’est mieux avec ça hein?» Je cachais bien d’autres choses, comme de l’alcool un peu plus fort et des sucreries, mais bon cela, il devra attendre encore un peu. Je ne voulais pas qu’il pense que c’était un rendez-vous de diner romantique, ce n’était pas le cas, mais je me disais que partager c’était beaucoup mieux. La nourriture en était toujours meilleure. «Alors, qu’aimerais-tu faire?» Je laisser planer le mystère. Ce soir, c’était lui qui allait décider de ce qu’on allait faire. Bien évidemment, Tant, que cela restait dans un lieu discret comme celui-ci. Je n’aurais pas envie que quelqu’un nous surprenne. Si cela était le cas, cela irait mal pour tous les deux. «Allez-dit moi!» finis-je par dire amusée.
 


Le style de la cabane:
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