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Contexte & cie » Même sur Die ac Nocte, nous possédons quelques règles, un univers bien précis à apprivoiser, à comprendre. Pour ce faire, cette partie a été faite pour vous. C’est ici que vous commencerez votre aventure, que vous trouverez de quoi comprendre le forum.
VOUS LES COPAINS, JE NE VOUS OUBLIERAI JAMAIS Sweet curse to charm you ~ Adis 2521561984
Après une jolie année, DAN ferme ses portes. Vous pouvez lire les petites explications et les petits mots du staff ici Sweet curse to charm you ~ Adis 3308333368
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 Sweet curse to charm you ~ Adis

         

Ezekiel Lightwood-Bane

Ezekiel Lightwood-Bane
J'ai débarqué à Rome le : 12/06/2018 , j’ai déjà envoyé : 2478 textos, d’ailleurs, j’ai récolté : 636
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MessageSujet: Sweet curse to charm you ~ Adis   Sweet curse to charm you ~ Adis EmptyLun 6 Aoû - 23:39

Sweet curse to charm you
Adis & Ezekiel


Le temps des lamentations est résolu. La date tragique s’est écoulée en emmenant avec elle une peine incommensurable. Les souvenirs ne te délaissent pas oui mais tu as choisis de vivre Ezekiel. Tu as choisis de vivre et non de survivre, c’était le conseil de ton défunt père, l’ultime avant d’avoir rejoint la Faucheuse sous sa cape de malheur. Cette journée, n’a rien d’exceptionnel. Tu fais les mêmes gestes encore et toujours ; dodo, travail au sein de la brigade nocturne ainsi que ta boutique de taxidermie. Ensuite, tu as l’idée d’aller te reposer sur ta tombe de cet être chéri. La coutume veut que tu lui parles de ta vie, de tes exploitations, de la dernière conversation que tu as eu avec ta frangine. Et puis, quand les paroles ne résonnent plus, c’est le silence qui intervient. Un silence expérimant à merveille ta solitude. Oui, tu as Brianna ainsi que Luna. Elles sont tes soeurs, ta famille et sûrement les personnes que tu aimes plus que tout. Cependant, tu ne peux t’empêcher de ressentir une certaine isolation non-désirée et c’est là où son visage apparait dans ton esprit. Adis. Il suffit de penser à lui pour avoir ce petit sourire sur les lèvres. Pour avoir cette lueur amusée au fond de tes océaniques en quête de ses courbes. Il est temps d’aller l’enquiquiner un peu et encore, le mot est faible face à l’harcèlement que tu lui fais endurer ; là où il va, te retrouve. Quand la nuit tombe et que la lune enchanteresse règne dans le ciel, ta traque commence et elle est ennuyante pour lui. Tu le sais. Il suffit de voir ses expressions fermées pour te pousser à continuer de l’emmerder sans te lasser. Bondissant sur tes pieds, tu quittes le cimetière et te diriges vers le centre ville. Tu connais un peu ses périmètres ainsi que les horaires de ses sorties. Tu sais où il se retrouve à l’heure actuelle et sans hésitation, aucune, tu te lances vers ledit bar. A peine vingt deux heures et tu es déjà à l’intérieur. Tes prunelles translucides n’ont pas besoin d’inspecter les lieux pour le repérer. Il est toujours à la même table, cigarette au bec et un verre devant lui. Te voilà entrain de sourire, entrain de te mordiller la lèvre par amusement. Tu es similaire à un enfant face à son petit jouet. Te retournant vers la barmaid, une loup-garou à qui tu souris, tu lui demandes un whisky deux glaçons ainsi que la boisson préférée d’Adis. Tu es prêt à l’attaque, tu es toujours prêt. Un, deux, trois pas et tes fesses se posent doucement sur la chaise qui lui fait face. Muni d’un petit sourire en coin, tu poses le verre devant lui. « Quelle surprise de te retrouver là. » Bien sûr, tu es narquois, l’air que tu arbores est loin d’être innocent. Après tout, tu sais qu’il est là, tu sais tout de lui du moins, de ses habitudes. D’ailleurs, tu anticipes sa réaction, celle de refuser le verre. Comme à chaque fois, comme toujours, c’est devenu votre coutume à tous les deux. Et visiblement, les habitudes sont tenaces. « Allez Adis, on refuse pas un verre offert gentiment. » Le tien, tu le glisses mollement vers tes charnues que tu trempes dans le liquide sans le quitter des yeux. Non, la vision qu’il t’offre est un brin trop plaisante pour détourner le regard. Et puis, faut avouer que dans tous les présents dans ce bar, il est le seul à t’attirer comme un aimant. C’est le cas depuis le début et plus il te repousse, plus tu t’accroches. « Je ne t’ai pas vu hier, tu m’as manqué. » Quand tu commences, tu ne t’arrêtes plus. Non seulement tu empiètes sur son espace vital, tu lui offres un verre contre sa volonté, tu fais la discussion alors qu’il ne t’a rien demandé et pour finir, tu tends la main pour récupérer sa cigarette de ses lèvres pour la glisser entre les tiennes. Provocation quand tu nous tiens. Provocation est tout bonnement ton deuxième prénom. Cela se passe dans ta manière de le regarder, de lui sourire ou de te pencher sur la table pour mieux te rapprocher de lui. Et ce n’est qu’une illusion parmi tant d’autres.

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MessageSujet: Re: Sweet curse to charm you ~ Adis   Sweet curse to charm you ~ Adis EmptyMar 7 Aoû - 0:39

Sweet curse to charm you
Adis & Ezekiel


T'es devenu prévisible, mais tu n'as jamais pensé que cela serait un véritable problème. Tout simplement parce que ce n'est qu'une valse incessante, ton existence qui te souffle que tu as tes petites habitudes, ces lieux où tu aimes t'isoler, ce bar appartenant à l'un des tiens où tu aimes t'égarer approximativement toujours à la même heure. Tu les aimes tes habitudes, parce qu'au fond, tu n'aspires pas à plus, malgré les efforts de Sam qui cherche à te tirer toujours plus haut, à t'extirper de ta morosité. Mais si tes pas foulent encore le sol de ce monde, c'est bien grâce à elle, grâce à eux, ces êtres avec lesquels tu vis, et même ce félin ennuyeux qu'elle a osé ramener et t'imposer sous prétexte qu'il était mignon. Le nez plissé, tu avais chassé les poils imaginaires qui finiraient sans aucun doute par être bien réel, tandis que tu pénétrais dans ce bar que tu affectionnais tout particulièrement. Pas forcément l'étage, ou seulement parfois, comme une saveur tentatrice qui t'entrainait dans les méandres de la luxure. Mais ce n'était pas réellement ton univers, tu avais clos ton coeur et tu en avais jeté la clé pour que plus personne ne vienne le briser. Tu l'avais cru, mais ton clan y avait élu domicile, et même cette petite sorcière, cette incroyable emmerdeuse qui s'avérait bien trop proche de celui que tu rencontrais trop fréquemment pour que ce ne soit un hasard. Mais le palpitant inerte qui persistait dans ta poitrine avait trop durement souffert pour lui permettre de s'y immiscer d'une quelconque manière, comme il semblait vouloir s'acharner à le faire.

Il lui suffirait d'apercevoir cette chair dissimulée pour deviner, pour y découvrir les noms de ces êtres trop importants à un instant de ton éternité devenue si fade sur ta langue. Avait-elle seulement eu une seule saveur à tes yeux, en dehors de ces instants partagés avec Jade. Il y avait bien eu Dimitri, et sans lui, tu serais mort bien avant que l'envie d'en finir ne vienne narguer ton esprit, bien avant que le destin t'en dissuade par la présence de Samantha, puis des autres. Sam... qui t'avait déjà demandé à qui ces noms faisaient référence, et tu le lui avais soufflé, tous ces disparus. Murmure capiteux, contact odieux de ses doigts qui supposèrent qu'un jour elle y trouverait sa place, tu avais capturé sa main et assuré le contraire. Elle vivrait. Elle, tout comme les autres. La sournoise savait ruser, elle te connaissait à présent, savait effleurer le point sensible pour te pousser à vouloir continuer à avancer, pour eux.

Tes yeux à présent perdus dans le vide, tu étais venu t'installer à ta table habituel, dans un coin, un espace plus discret. La musique flotte à tes oreilles, et tu sirotes ton verre du bout des lèvres à l'occasion, lorsque ta clope les déserte. Si tu étais mortel, tu serais l'exemple même à ne pas suivre pour vivre plus longuement qu'une allumette enflammée. La musique qui s'élève te convient, les murmures fredonnés par tous les autres ne font que renforcer l'imprécision des mots que tu ne cherches pas à capter. Puis tu la sens, cette fragrance familière, avant même que la silhouette prenne forme en face de toi. Ezekiel... tu n'es même pas surpris, pourtant l'agacement t'arrache un soupir et tes lèvres se pincent alors qu'il pousse un verre de whisky dans ta direction. « Quelle surprise de te retrouver là. » Tu hausses vaguement un sourcil à son sarcasme, parce que vous savez tous les deux que le hasard n'a rien à voir dans cette histoire. Tu en deviens persuadé, qu'il provoque ces rencontres. Pourquoi serait-il ici, sinon ? « Allez Adis, on refuse pas un verre offert gentiment. » « Vraiment ? Je n'en veux pas, et n'en voudrai jamais. Tu ferais mieux de l'offrir à quelqu'un que ça intéresse. » souffles-tu avec sarcasme, repoussant le verre en question du dos de tes doigts, tandis que tu tires une taffe à ta clope de l'autre main. Cigarette qui s'attarde à tes lippes, ton regard dérive brièvement sur celui du néphilim. Si tu ne te retenais pas, si tu ne te maitrisais pas, tu sais que ta langue viendrait glisser sur tes lèvres, tes narines trop sensibles à la fragrance délicieuse qui t'enveloppe. Mais il est ce que tu veux haïr de toutes tes forces, et cette vérité t'aide à te cramponner à ta détermination. « Je ne t’ai pas vu hier, tu m’as manqué. » Tes lèvres se pincent à ces mots, à ce jeu qui semble tant lui plaire et qui t'exaspère. Il en profite pour te dérober ta clope, laissant ton regard qui avait dérivé, revenir se perdre sur le sien. Il ne manque pas d'audace, mais tu ne tomberas pas dans son piège, ni dans son jeu. Tu t'adosses pour t'éloigner de la table, comme si vous n'étiez que deux aimants de charges opposées. « Et si tu allais ailleurs pour voir si j'y suis, Ezekiel ? » marmonnes-tu, toujours aussi agacé, tes doigts enlacés autour de ton verre. Tu songes à l'idée de ne plus revenir trop régulièrement dans ce lieu, mais ce serait lui reconnaître une importance. Et à nouveau, tu sens la contrariété consumer ton être, une seconde à peine avant d'avaler les quelques larmes restantes dans ton verre à présent vide.

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Ezekiel Lightwood-Bane

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MessageSujet: Re: Sweet curse to charm you ~ Adis   Sweet curse to charm you ~ Adis EmptyMar 7 Aoû - 1:16

Sweet curse to charma you
Adis & Ezekiel


Avant même qu’il n’entrouvre les lèvres, tu devines par avance le sarcasme qui s’en découlerait. Après tout, il s’agit de votre quotidien, de vos habitudes ; ton impertinence se heurte à la sienne, encore plus grandiose, plus chaotique. Si la détermination ne faisait pas partie intégrale de ton caractère, t’aurais sûrement lâché l’affaire. Il faut être aveugle pour ne pas remarquer la crispation de ses traits quand ta silhouette entre dans son champ de vision. Ou encore le petit rictus d’impatience dessiné sur ses lèvres quand ta voix résonne. Il faut avouer que tu n’es pas une personne censée. Une personne saine d’esprit n’aurait pas envie de savourer ses lippes et de goûter à leur texture. Une personne raisonnable, n’aurait pas eu ce sourire de diablotin, prêt à riposter contre toute attente. « Ne dis jamais jamais. Tu ne peux pas savoir ce que l’avenir te réserve et ma foi, tu es bien placé pour le savoir non ? » Oui Ezekiel tu adores jouer, tu aimes avoir les cartes en main afin de les placer à ta guise. Parler de sa condition de vampire, évoquer ce souvenir lointain dont tu ignores tout, n’est peut-être pas la meilleure chose à faire mais entre vous, tous les coups sont permis. Il n’y a pas de perdant en réalité, il y a juste deux individus attendant l’action de l’autre pour attaquer. Ton regard pue l'incandescence alimenté par ce haussement de sourcil franchement amusé. Il repousse le verre et tu ne bouges pas. Non, tu ne quittes pas son regard, tu ne baisses pas le tien, tu n’as pas à le faire. Tu évolues dans un monde étrange et probablement ésotérique. Un monde que même les grands savants n’ont pas imaginé. Et dans cet univers là, tu as pu trouver ta place, d’abord dans cette famille de renommée et ensuite au sein des créatures obscures. Ce ne sont pas des petites piques de rien du tout qui pourront t’enrager ou te rendre chèvre. Il en faut plus, beaucoup plus pour t’intimider. Et faut dire que tu as encore des tours dans ton sac. Tu parles une nouvelle fois, tu rempli la conversation malgré son désaccord. En réalité, tu n’as rien à lui envier. Tu n’aimes pas être traqué de la sorte. Tu n’aimes pas qu’on t’impose une quelconque présence contre ta volonté. Ca a tendance à planter une certaine ire dans ton âme et pourtant, tu le fais avec Adis. C’est ça, tu fais ce que tu n’aimes pas qu’on fasse avec toi. C’est peut-être dû à un certain degré d’égoïsme ou peut-être as-tu vu quelque chose en lui, qui te pousse encore et encore à lui courir après. Comme si ta vie tout entière en dépendait, comme si c’est la seule chose à faire avant de pousser ton dernier soupir. Et ça arrive. Ces mots qui pourront t’écorcher à vif. Ils sont là, ils voyagent jusqu’à ton conduit auditif, remontant jusqu’à ton cerveau et défigurant ton faciès dans une expressions insoupçonnée ; tu tends les lèvres dans une moue boudeuse avant de froncer les sourcils tel un gamin insatisfait. D’ailleurs, tu ne dis rien. Tu feins la réflexion. Une profonde réflexion qui en réalité n’est qu’une leurre soulignée par ton soudain haussement d’épaule. Nonchalant. « Hum … non. Pas envie de bouger. » Tu le pousses dans ses retranchements, tu le sais. Une petite voix intérieure te répète la même chose ; ce n’est pas bien. Ce n’est pas la bonne démarche à prendre pour t’inviter dans son train-train quotidien. Mais que faire quand tes tentations se cognent à un mur de refus perpétuel et sans appel ? Et bien, tu essaies encore, tu changes de tactique après tout, tu es le stratège. Tu dis ce que les autres veulent entendre. Tu les laisses apercevoir une lueur d’espoir qui n’en est pas une du moins, pas toujours. « Je te propose quelque chose. » Commences-tu après avoir glissé la cigarette dans le cendrier. Tes bras se croisent sur la table, ta tête s’incline sur le côté en arborant un air innocent qui te va à ravir. « Ne me chasse pas cette fois et je promets sur la tête de ma soeur de ne plus jamais venir t’embêter. » Tu sembles si sincère. Tu parles fluidement de ta voix basse et profonde. Tu évoques ta soeur, celle qu’il apprécie et tu le sais. Une relation qui te rend farouchement jaloux par contre. Mais tu ne dis rien parce que de cette façon, tu gardes toujours un oeil sur lui, sur ses agissements. Tu joues le tout pour le tout parce que tu ne veux pas qu’il se redresse. Tu ne veux pas qu’il mette un terme à cette entrevue aussi indésirable soit-elle. Tu n’es pas encore rassasié de son joli minois. « Alors ? Choisir de me supporter une seule nuit ou préfères-tu que je revienne les soirs d’après ? » Et une fois les lèvres closes, tu glisses le verre devant lui, faisant un signe de tête vers le liquide ambré.  
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Dernière édition par Ezekiel Lightwood-Bane le Mar 7 Aoû - 22:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sweet curse to charm you ~ Adis   Sweet curse to charm you ~ Adis EmptyMar 7 Aoû - 12:15

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Il t'agace. Il t'énerve. Peut-être même qu'un jour il sera capable de te rendre fou, l'hypothèse n'est pas impossible vu l'état d'irritabilité dans lequel il te place. Tu n'as pas envie qu'il soit là, devant toi. Tu n'as pas envie qu'il insiste, qu'il cherche à ce que tu l'acceptes dans ton entourage. Il n'est qu'un néphilim, qu'un être qui, à son sens, devrait être éliminé. Et tu l'entends te dire qu'il ne faut jamais dire jamais, venant comparer le fait d'accepter un verre de sa part comparable à ta transformation. Ca fait s'étirer un sourire sarcastique à tes lèvres, parce que cela n'a rien de comparable. Le destin qui était venu te chercher, n'était autre que Dimitri. C'était lui qui ne t'avait pas laissé le choix de renaitre alors que la mort caressait déjà tes bras avec langueur, que tes forces s'étiolaient dans cette ruelle malfamée de New York. Non, décidément, rien de comparable. Mais qu'en savait-il après tout ? Rien. Il n'en savait rien, car toutes ces histoires n'étaient jamais parvenues à ses oreilles, ni par tes lèvres, ni par celles de quelqu'un d'autre. Tu ne répliques rien, à quoi bon après tout ? Tout ce que tu désires, c'est mettre un terme à cette conversation, pas à l'entretenir. Mais Ezekiel continue, poursuit la conversation, se rapproche quand tu recules, et tu voudrais la clore. Mais tu sais, à la moue boudeuse qui orne ses lèvres sur lesquelles tes prunelles s'attardent, qu'il n'en fera rien. Ce sera sans doute à toi de le faire, en quittant les lieux, car... « Hum … non. Pas envie de bouger. » Et cela t'agace encore, t'insupporte, t'arrache un autre soupir, alors que tu reposes ton verre vide sur la table de ce geste élégant qui ne trahit en rien tes véritables origines. L'expression de tes traits est fermée, distante, ne trahissant que l'agacement que tu ressens en sa présence. N'importe qui aurait compris. N'importe qui aurait abandonné. Mais ce néphilim ne semblait pas saisir que tout cela ne le mènerait à rien.

L'envie de lui souffler qu'il est tout ce que tu abhorres te démange, mais tu te doutes qu'il le sait, qu'il n'est pas assez con pour ne pas deviner que tu ne le supportes pas. D'autant plus que déjà, tu le vois glisser ta clope, celle qu'il t'a volée, dans le cendrier, avant de croiser ses bras sur la table, et d'incliner innocemment son visage sur le côté. « Je te propose quelque chose. Ne me chasse pas cette fois et je promets sur la tête de ma sœur de ne plus jamais venir t’embêter. »  Ton regard se plisse, la proposition est tentente il faut bien l'avouer. Mais l'heure où tu feras naïvement confiance à un néphilim n'est pas encore venue. Pourtant, malgré ta méfiance envers le lien qui l'unit à Brianna, tu sais qu'il tient à elle lui aussi, qu'elle compte à ses yeux, sans doute bien plus qu'aux tiens. Ainsi, la proposition possède ce goût de liberté qui te fait envie, alors qu'il tente de rogner ta détermination et tes croyances à chacune de vos rencontres. « Alors ? Choisir de me supporter une seule nuit ou préfères-tu que je revienne les soirs d’après ? » te souffle-t-il encore, avant de repousser le verre dans ta direction, laissant tes iris venir s'attarder sur la liqueur ambrée. Il se doute sûrement que tu étudies sa proposition... « Qu'est-ce qui me prouve que tu tiendras parole ? » Que tu fais même plus que l'étudier, puisqu'à travers cette simple question, tu l'envisages clairement. Mais rien ne te le prouve. Tu n'as aucune certitude qu'il respectera ses mots, qu'une fois cette nuit oubliée, il ne sera pas à nouveau là, dans ton ombre, celle qui suivra. Et rien ne te certifie que tu ne commettrais pas une erreur en le laissant pénétrer tes premières défenses. Tu n'arrives pas à le cerner, ni lui, si ses motivations. Tu ne sais même pas vraiment comment réagir. Pourtant, tu soupires, te passant un main dans les cheveux comme pour les remettre en forme, avant que ces mêmes doigts ne viennent s'enrouler autour du verre. « Soit, un verre et tu disparais. » Tu le mènes à tes lèvres, mais tu marques une seconde d'hésitation avant d'y tremper finalement tes lippes pour y dérober une gorgée. Preuve manifeste que tu viens d'accepter qu'un néphilim t'offre un verre, et cette simple pensée dessine un nouveau pli contrarié sur ton front. Puis tu déposes le verre sur la table, laissant ton regard revenir se déposer sur celui qui t'insupporte, son regard aussi bleu que le tien est vert. « Et maintenant ? » soupires-tu, deux de tes doigts pianotant sur la table. Tu ne sais pas ce qu'il veut. Tu ne lui as jamais permis de te l'offrir ce verre, et tu n'es jamais resté. Brianna serait sûrement amusée, mais pas toi. Ca fait des siècles que tu n'as pas joué à ce genre de petit jeu, tu n'en connais plus les règles... si un jour tu les as connues. Et tu n'as pas envie d'y jouer au fond. Tu crains les conséquences, et ça laisse ton être se tendre inconsciemment. Tu ne le laisseras pas gagner. Et à la fin de la nuit, s'il tenait parole, tu ne le reverrais plus.

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MessageSujet: Re: Sweet curse to charm you ~ Adis   Sweet curse to charm you ~ Adis EmptyMar 7 Aoû - 22:28

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Combien de fois a-t-il refusé les verres offert gentiment par ta humble personne ? Un nombre incalculable, interminable. A chaque fois, tu hausses les épaules et tu disparais devant le comptoir du bar pour l’observer. Tu sais que tu ne lui rends pas la vie facile. Ce n’est pas évident de se sentir épié, constamment contemplé. Car quand bien même tu ne lui fais pas enduré ta présence, ton regard sur lui est omniprésent et c’est d’autant plus énervant, irritant. Ce soir, tu changes de tactique. Ce soir, tu exposes ta manipulation qui se heurte à un mur de silence. Oui, en faisant cette remarque, tu t’es attendu à une réponse cinglante de sa part voire même, un petit aperçu de ce passé mystérieux qu’il trimballe avec lui. Erreur de calcul, erreur dans le système, il ne fait rien, il ne dit rien. Ses lippes restent closes, ravalant cette énigme que tu rêves de percer à jour. D’ailleurs, tu retrousses tes lèvres sur le côté gauche de ta bouche dans une moue contrariée. Toi, l’enfant gâté, le petit prince dans sa cour de privilèges, tu n’es pas satisfait et Adis sait où appuyer pour accentuer ton mécontentement. Le moment arrive où tu lui retournes la politesse. Non, tu n’as pas envie de bouger, oui tu vas encore le harceler ce soir. Un donnant-donnant de plus jouissif pour toi et bien évidemment, c’est trop tentant pour t’arrêter là. Le moment des promesses arrive. Le moment où tu chamboules votre soirée à deux. Si la coutume veut que tu déguerpis pour revenir le lendemain lui faire endurer une nouvelle fois ta présence, là, tu changes de tactique. C’est un retournement de situation dont tu es le seul à connaître sa finalité. Cependant, tu vois qu’il étudie ta proposition, que, probablement, il est entrain de réfléchir. Tu attends. Une, deux, trois, quatre seconde et ses lèvres s’ouvrent. Sa voix retentit. Sa voix, cette magnifique mélodie à tes oreilles. Ces do, re, mi qu’il projette dans l’air sans même s’en rendre compte et cela t’énerve autant que ça te plait. « Hum, rien. A part ma parole, bien sûr. » Non, il n’y a aucune garantie. C’est à prendre ou à laisser et le pire, c’est ton expression. Elle est tellement provocatrice, tellement insolente que tu sais, l’envie de te refaire le portrait s’immisce doucement dans son âtmâ. Toi, tu restes impénétrable, tu ne lui montres rien de tes intentions. Tu attends, tu guettes, comme d’habitude, comme toujours. Quand ses doigts graciles se posent lentement sur le verre, tu comprends que tu as remporté le premier round car oui, vous êtes similaires à deux félins se guettant sur l’arène. Il suffit d’une erreur pour que l’autre saisit la chance pour soit attaquer, soit s’en aller. Toi, tu décides de ne pas fuir cette fois, non, tu veux finir cette bataille, quitte à t’en sortir meurtri. « Maintenant ? » Et voilà cette sonorité amusée qui quitte ta gorge. Un léger rire, de courte durée, qui meurt dans le brouhaha du bar, de la musique. « Maintenant, il faut que tu écoutes mes conditions. Tu ne pensais quand même pas que le fait d’accepter un simple petit verre allait me rassasier quand même ? » Bien sûr que non. Si tu vas le laisser tranquille, il faudrait que tu profites du seul et unique moment en sa compagnie. Cependant, quelques parts, dans les méandres de ton âme, il y a cette contrariété. Certes, tu es plus qu’heureux de passer enfin une soirée entière avec lui mais tu as aussi souhaité qu’il refuse. Qu’il refuse pour la simple et unique raison que tu puisses encore venir l’embêter voire même comprendre qu’en réalité, il apprécie le fait de te voir rôder autour de lui. Tu es déçu, il n’y a pas à dire mais en même temps, tu vas tout faire pour qu’il te tolère, pour qu’il change son avis sur toi. « Et donc non, pas un seul verre mais toute la soirée. Après tout, qu’est ce qu’une soirée quand on a l’éternité ? » Sourire angélique sur les lèvres, tu les noies juste après dans le liquide ambré, le finissant d’une traite. Le posant sur la table, tu fais appel à un serveur passant par là, sans quitter le vampire du regard. Ce que tu commandes ? Une bouteille bien évidemment. « Alors dis moi. » Commences-tu avant de glisser ta main vers son paquet de cigarettes. Tu en prends une que tu coinces entre tes pulpeuses. Tu prends pas son avis, pas besoin de ça et puis il faut avouer que l’un de tes pires défauts est le fait d’être sans-gêne, aucune. « Pourquoi tu me détestes tant ? Tu me connais pourtant pas. » Et là, c’est une réalité. Toi, en tant que personne, en tant qu’un être intelligent, il ne te connait pas, il ne sait rien de toi. Sa haine, selon toi est injustifiée et fatalement futile aussi. Et justement, tu veux profiter de cette soirée pour en savoir plus. Beaucoup plus.      

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MessageSujet: Re: Sweet curse to charm you ~ Adis   Sweet curse to charm you ~ Adis EmptyMer 8 Aoû - 18:53

Sweet curse to charm you
Adis & Ezekiel


Comme tu le pensais, comme tu l'imaginais l'instant d'avant, il t'affirme n'avoir rien pour te prouver ce qu'il avance, si ce n'est sa parole. Mais elle ne vaut rien à tes yeux. Ta considération envers les néphilims est telle que tes lèvres se pincent imperceptiblement à la seconde où tu l'entends le clamer. Mais la tentation, trop forte, de voir hypothétiquement ton problème se volatiliser, te pousse à accepter son verre, à laisser la liqueur glisser sur ta langue. Ta contrariété est manifeste, et tu sens son regard qui n'en perd pas une miette. Tes doigts pianotent finalement sur table, et tu lui poses la fatidique question. Celle qui avoue que tu n'es pas en sentier connu, que tu n'es pas à l'aise dans cette nouvelle situation, même si tu sembles pourtant trop calme à l'exception de tes doigts impatients. « Maintenant ? » répète-t-il d'un timbre amusé, qui précède ce rire amusé qui laisse ton poing se resserrer, ton regard se hisser en direction du plafond. Ce qu'il peut t'agacer à cette seconde, peut-être plus encore qu'à d'autres déjà écoulées. « Maintenant, il faut que tu écoutes mes conditions. Tu ne pensais quand même pas que le fait d’accepter un simple petit verre allait me rassasier quand même ? » Des conditions, si tu avais été en train de boire, sans doute que tu te serais étranglé avec ta boisson, alors qu'il continue à souligner le fait qu'un verre ne lui suffirait pas. Pourtant, tu lui offres ce pour quoi il combat chaque nuit où il est revenu te hanter, te suivre, te harceler comme un insecte envahissant. Un insecte qui t'oblige à le remarquer. Un insecte qui t'oblige à le regarder. Un insecte dont tu sens le regard posé inexorablement sur toi, combien même il s'éloigne. « Qui sait, ça aurait pu être le cas. » que tu grommèles, sarcastique, ennuyé, agacé. A la vérité, tu as accepté un verre, mais tu peux encore revenir sur ce dernier, sur votre accord si celui-ci ne te convient finalement pas.

« Et donc non, pas un seul verre mais toute la soirée. Après tout, qu’est ce qu’une soirée quand on a l’éternité ? » reprend-il sans te perdre des yeux, le tapotement de tes doigts suspendus mais ces derniers toujours posés sur la table. Tu concevais facilement qu'il parlait bel et bien du reste de la nuit, juste avant que tu te retires pour éviter les rayons dévastateurs du soleil. Mais lorsqu'il souligne que ce n'est rien pour toi qui a l'éternité, tu le ressens ce gouffre insipide tout juste comblé par les membres de ton clan. Cette lassitude qui rampe si facilement sur ta peau, et tu laisses un soupir agacé trépasser de tes lèvres. Pas pour la raison qu'il imagine, mais bien par ton manque de conviction à te projeter dans l'avenir. Sans Sam et les autres, tu y aurais déjà renoncé, à cette fichue éternité. Mais tu ne relèves, tu n'as fait aucun geste, ni pour le chasser, ni pour t'en aller, signe évident que tu acceptes cette condition. « Alors dis moi. Pourquoi tu me détestes tant ? Tu me connais pourtant pas. » Ton regard se plisse quand tu le vois s'emparer de ton paquet de clopes pour en porter une à ses lèvres, comme si vous étiez assez proches à présent pour qu'il se permette ce genre de familiarité. Indiscutablement, il t'agace à agir ainsi, mais tu restes immobile, ne tendant tes doigts pour récupérer ton paquet qu'une fois qu'il n'en fait plus usage. Tu l'écoutes comme si tu étais distrait, alors que tu portes une nouvelle clope à tes lèvres, juste avant de l'allumer, d'inspirer un souffle de nicotine. Puis tu glisses le restant de cigarettes dans la poche de ta veste, comme pour lui en interdire l'accès. La discussion frôle quelque chose que tu maîtrises, loin de sa drague qui te déstabilise. C'est de ton attitude qu'il est question, de ton rejet perpétuel. C'est de toi et de ta façon de le rejeter, de le détester dont il est question. « C'est donc ça ? » fais-tu remarquer en haussant un sourcil. « Tu n'aimes pas qu'on te rejette sans comprendre pourquoi ? » Question qui a tout d'une affirmation, avant de reporter ta cigarette à tes lèvres pour lui soutirer une nouvelle taffe. Ca te donne de l'assurance, ça t'offre de la prestance, dans cette attitude calculée que tu lui offres, tes iris redessinant ses traits avec un peu trop d'attention. « Tu es un nuisible, Ezekiel, au même titre que ceux de ton espèce. » La fumée t'enveloppe, atténue la fragrance du sang du néphilim dont tu devines l'exquise saveur sans même y avoir jamais goûté. Tu ne le laisseras pas approcher. « A décider de qui doit vivre ou mourir comme si vous étiez supérieurs. » L'amertume s'étire à tes mots, à ce reproche que tu fais à un être pour toute sa race. Parce que si tu le voyais différemment, ce serait la fin de tout ce en quoi tu crois. « Alors je n'ai ni le besoin ni l'envie de te connaître, toi, en particuliers. »

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Ezekiel Lightwood-Bane

Ezekiel Lightwood-Bane
J'ai débarqué à Rome le : 12/06/2018 , j’ai déjà envoyé : 2478 textos, d’ailleurs, j’ai récolté : 636
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MessageSujet: Re: Sweet curse to charm you ~ Adis   Sweet curse to charm you ~ Adis EmptyMar 14 Aoû - 19:58

Sweet curse to charma you
Adis & Ezekiel


Tout en lui témoigne l’agacement. Une contrariété dont tu es l’origine. Ca commence par les tapotements incessants de ses doigts sur la table jusqu’à ses yeux, s’élevant vers le plafond. Sans parler de ses soupirs incessants comme s’il se retenait de te dire d’aller voir ailleurs. Il n’a pas besoin de le dire pour que tu le comprennes. Seulement, il y a une marge entre comprendre et accepter. Si tu assimiles sa haine pour toi et ton espèce, tu refuses catégoriquement de le laisser tranquille et c’est quelque chose que toi-même tu ignores la raison pour laquelle tu le fais. C’est vrai, tu t’obstines à désirer ce que tu ne peux avoir. Ce n’est même pas une histoire de se faire désirer non. Sa rancune est vorace, réelle et si elle était personnifiée, elle t’aurait sûrement assassiné depuis belle lurette. Tu en fais pas attention Ezekiel. Tu continues d’exécuter ton petit plan qui se porte à merveille. Adis ne dit rien mais tu comprends de son regard, son acceptation. Il accepte tes conditions et maintenant que tu as commandé une bouteille pour vous deux, il ne pourra plus faire marche arrière du moins, tu feras tout pour le convaincre. D’ailleurs, ses mots t’ont bien fait sourire. Qui sait, ça aurait pu te contenter. Non, tu ne peux te contenter d’un verre quand on a les yeux plus gros que le ventre. Toi, tes désirs sont prohibés et même si tu es conscient de cette vérité, tu ne fais pas marche arrière. Tu continues d’avancer, quitte à te fracasser la tête la première. Tu ne peux déclarer forfait avant même d’avoir essayé n’est-ce pas ? Et c’est ce que tu essaies de faire ce soir, essayer, tenter le coup, tenter le tout pour le tout. Ce dont tu as besoin ? Un petit signe qui laisse entrevoir la possibilité de changer son avis sur toi. Une maigre possibilité, une petite probabilité, n’importe quoi qui t'aide à te raccrocher. Cigarette au bec, tu ne demandes pas son avis. Encore une fois, il ne dit rien mais ses gestes parlent pour lui. Le fait de récupérer son dû et de le glisser dans la poche de sa veste est assez révélateur. Néanmoins, ce n’est pas ce qui t’interpelle. Ce qui attire ton attention, ce qui sollicite tout ton attrait n’est autre que ses petits gestes. Ils sont peut-être banals oui. Glisser ses doigts dans ses cheveux ou coincer un bâton toxique entre ses charnues, c’est banal mais pour toi, c’est similaire à une merveille. Similaire à une provocation dont il ne s’en rende même pas compte. Soupirant et désirant comprendre l’origine de cette haine, tu poses ta fameuse question et tu attends. Tu attends qu’il pousse cette mélodie que tu aimes tant, pour laquelle tu es prêt à te damner. Et elle arrive cette mélodie. Epine écorcheuse, lame tranchante qui te laisse passablement pantois. Du moins dans un premier temps. Tes yeux se plissent, tu perds ton assurance pendant une seconde. Une étincelle de Chronos que tu renverses en laissant ce petit sourire de provocation s’immiscer entre tes pulpeuses. « Hm je vois. » Tu prends ton temps pour tirer sur la cigarette. Tu ignores sa questions sous forme de déduction pour le moins complètement fausse. Tu t’en fous qu’on te déteste. Tu es tellement nonchalant pour ça. Non, toi tu détestes qu’il te déteste, la nuance est là. Et il te dit pourquoi il te déteste, une situation qui ne semble pas t’atteindre alors qu’elle aurait pu le faire quelques instants plus tôt. « Tu es un raciste alors. » Dis-tu, une moue boudeuse sur ton faciès loin d’être rieur. Tu es d’ailleurs, interrompu par le serveur qui dépose la bouteille sur la table. Tu prends le soin de vous servir tous les deux, parlant en même temps que tu remplisses le sien. « Et les racistes font preuve de préjugés. Ils voient aussi le mal même là quand il y en a pas. » Tu es né néphilim. Tu as grandi en tant que tel, tu as grandi dans une famille où ce sang coule dans leur veine mais tu as aussi été trahit par tes semblables. Tu ne peux jamais oublier le fait qu’ils aient tué ton père, ça jamais. Tu ignores si Adis le sait et pour être sincère, tu n’as aucune envie de lui offrir cette information. Alors que tu finis de le servir, tu murmures. « Je n’ai rien mis dans ton verre hein. Tu n’es pas dupe, tu l’as déjà compris mais tu m’intéresse. Il suffit que tu mettes ces préjugés de côté pour au moins me donner une chance et me connaître. » Une espérance dissimulée sous un masque d’humour palpable dans tes mots et sur ton faciès.

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