Contexte & cie » Même sur Die ac Nocte, nous possédons quelques règles, un univers bien précis à apprivoiser, à comprendre. Pour ce faire, cette partie a été faite pour vous. C’est ici que vous commencerez votre aventure, que vous trouverez de quoi comprendre le forum.
VOUS LES COPAINS, JE NE VOUS OUBLIERAI JAMAIS
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| Calypso ~ Within The Presence Of Absence | |
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| Sujet: Calypso ~ Within The Presence Of Absence Jeu 4 Oct - 14:04 |
| Calypso Dahl « Petite citation de votre personnage, citation ici »
Dernière édition par Calypso Dahl le Ven 22 Mar - 0:11, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: Calypso ~ Within The Presence Of Absence Jeu 4 Oct - 14:05 |
| NOS FABULAM NARRAT « Petite citation du personnage machin » The Bitterness And The Bereavement Un coup de foudre. Un regard, un sourire et il était conquis, le coeur battant la chamade. Elle était une beauté innocente. Les cheveux blonds soyeux, la peau laiteuse et les yeux d’un vert hypnotisant. Elle était un ange tombé du ciel, une magnifique fleur qu’il voulait être le seul à cueillir. C’est l’histoire de tes parents. Une histoire que tu as écouté avec un air rêveur sur le faciès, en ayant les prunelles toute émerveillées. Tu aimais cette histoire. C’était similaire à un conte de fée qui pourtant, a vu le jour entre ces deux êtres aimants. Toi, tu n’étais que la concrétisation de leur union et leur amour débordant. Dès tes premiers cris, ils t’avaient accueillis les bras grands ouvert. Leur bonheur n’avait pas de limites, ne connaissait aucune barrière … à un détail près. Lors de ton quatrième anniversaire, ta mère avait été emportée par la maladie. Tu étais petite mais tu te rappelles encore de la pâleur de son visage, de son incapacité soudaine à bouger les bras. Un handicap qui s’était propagé jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus marcher ou s’occuper de toi. Elle était atteinte de La sclérose latérale amyotrophique. Une maladie qui était ésotérique à cette époque. Une maladie qu’on comprenait pas et on ne peut traiter l’inconnu. Malheureusement, ta mère n’avait pas fait long feu, plongeant ton père dans une dépression aiguë. L’arrivée d'un nouveau malheur dans sa famille, n’avait pas épargné cet homme qui fut autrefois, joyeux et aimant. Il était devenu absent et ne voyait qu’une seule et unique chose ; la bouteille d’alcool. Il buvait jour et nuit, te laissant au soin des gouvernantes. Tu ne comprenais pas sa décadence. T’avais à peine six ans et tu avais besoin de la seule figure parentale qui te restait. Malgré tes appels constants, il ne l’écoutait pas. Sortant dans la matinée et revenant le soir pour se coucher sans même te regarder. Sa fortune, il la mettait dans les jeux, les prostitués et l’alcool. Toi, tu n’existais pas. T’étais une fille de la noblesse et comme toutes les demoiselles de ton rang, tu devais exercer plusieurs formes d’art. Si ton niveau était plus bas que la moyenne en musique, en peinture tu excellais. Tu extériorisais ton mal être, l’absence de tes parents dans tes tableaux. Tu prenais un malin plaisir à essayer des différents styles d’époque. Ça te donnait une raison pour te réveiller le matin. Pour continuer à essayer de te rapprocher de ce père inexistant. Enfin de compte, tu as abandonné. La seule conversation qu’il a osé te faire, s’était résumée à ton avenir. Épouse d’un homme d’affaire norvégien. De cette façon, tu pouvais sauver le nom des Dahl puisque ton père s’était assuré de le souiller avec ses dettes accumulées. Tu étais contrainte de te lier à une personne que tu ne connaissais pas, que tu n’aimais pas alors que t’avais à peine dix neuf ans d’existence. Mais pour ton père, t’étais prête à faire cet ultime sacrifice. Jonas, ton futur époux et ton aîné de quinze ans n’était pas charmant. Cependant, tu aimais sortir avec lui pour une seule et unique raison ; tu pouvais ainsi voir le pianiste des soirées mondaines. Il était brun, les cheveux longs et un air extrêmement mystérieux lui collait à la peau. Tu aimais l’entendre jouer, tu aimais le voir réfléchir. Petit à petit, tu as commencé à éprouver une curiosité hyperbolique pour lui.
Black Heart Romance Marco. Il s’appelait Marco et il t'intéressait. Tu ignores ce qui a accroché ton regard. Son physique fort attrayant ou le mystère qui plane autour de lui. Quoi qu’il en soit, tu t’étais retrouvée du jour au lendemain à le suivre. Dans le vrai sens du terme. Tu prétendais devoir sortir acheter du matériel nécessaire pour dessiner. Tu prétendais devoir joindre ta couturière attirée afin de te confectionner une nouvelle robe. Tu trouvais toujours une bonne raison pour quitter ta maison et suivre à la trace le jeune homme. Les informations à son sujet étaient très minimes. Italien, la trentaine, pianiste le soir et habitait dans un quartier modeste d’Oslo. C’est tout ce que tu savais sur lui avant de commencer petit à petit, à t’imprégner de son mode de vie. A dix heures du matin, il quittait son appartement. L’une de ses activités préférées était d’aider ceux en besoin. Il faisait plein de petits boulots et tout ce qu’il gagnait, il le dépensait sur les enfants défavorisés de son quartier. Doté d’une grande force physique, il était le premier à se porter volontaire pour donner un coup de main au boucher ou aux ouvriers. Toute sa journée se passait de la même manière ensuite à dix neuf heures, il s'éclipsait chez lui pour se changer et partir à son travail de musicien. Tu connaissais son emploi de temps comme jamais. Tu l’avais appris par coeur à force de l’épier parfois cachée dans la foule et d’autrefois, faisant mine d’entrer dans les petites boutiques de fortune. Seulement un soir, alors qu’il avait pénétré dans son immeuble, t’étais prête à rentrer chez toi quand il avait surgit de nulle part, te traînant jusqu’à une ruelle sombre. “Vous voulez quoi mademoiselle Dahl ?” Il était proche, beaucoup trop proche. T’avais perdu ta langue alors qu’habituellement tu es une jeune femme qui adore parler, communiquer. Il t’a fallut quelques secondes pour reprendre tes esprits. “Vous me connaissez ?” Il eut un petit sourire en coin. Il s’était mis à énumérer tes activités quotidiennes. A te dire avec exactitude la table que tu occupais tous les soirs avec ton fiancé. Tu avais ainsi compris que tu n’étais pas la seule à l'épier. Il le faisait aussi avec beaucoup de discrétion contrairement à toi. Alors qu’il t’avait gentiment demandé d’arrêter ce que tu faisais, ta voix avait résonné d’une manière un peu plus forte. Tu veux le voir. Le connaître. Il était dos à toi. Il était figé. Et quand il commençait à partir, il t’avait proposé de venir le lendemain, le soir, dans cette ruelle. T’étais heureuse Calypso. T’étais extrêmement heureuse et sur ton petit nuage. Tu avais anticipé votre deuxième rencontre qui s’était multipliée. Vous avez ainsi acquis l’habitude de vous voir, discrètement, cachés des yeux de tous. Tu avais appris à le connaître, tombant de plus en plus sous son charme. Tombant de plus en plus amoureuse de lui. Mais t’étais loin d’imaginer sa réelle nature.
A Sea To Suffer In Marco, n’était pas venu à votre rendez-vous. L’attente était interminable. L’attente était extrêmement fatigante. La voix de la raison te demandait de rentrer chez toi mais la nature de tes sentiments, te demandait d’aller chez lui. T’étais inquiète parce qu’il n’avait jamais manqué un de vos petits tête à tête. Déterminée, tu avais pénétré dans l’immeuble. Tu avais monté les escaliers grinçants. Sans faire de bruit, t’étais entrée dans son appartement. Il y avait le strict minimum et la vue de ses habits t’avait attirée. Tu t’es rapprochée. Tu t’étais penchée pour récupérer une de ses chemises. Tu l’avais reniflé en fermant les yeux. Tu ne les avait ouvert que lorsqu’un bruit avait surgi dans ton dos. Tu t’étais retournée au moment où ton coeur avait raté un battement. Un loup. Un loup aux poils noirs et aux yeux vert te regardait. Un cri s’était bloqué dans ta gorge alors qu’une lueur de crainte s’était immiscée dans tes prunelles. Et pourtant, pourtant, t’avais l’impression de le connaître. T’avais l’impression de reconnaître ses billes émeraudes. T’avais fait un pas vers lui et il avait reculé. Il avait reculé jusqu’à ce qu’il disparaisse dans une chambre. T’étais folle de rester encore dans cette pièce. Folle et complètement curieuse aussi. Curieuse mais aussi choquée quand Marco avait apparu devant toi. T’avais alors pointé la pièce dans laquelle le loup avait disparu. “Il … il … Un loup !” Il avait baissé les yeux. Il avait hoché la tête. Il était bien trop calme malgré la situation alors que toi, t’étais au bord de la crise de nerfs. Tu n’avais pas failli Calypso. Tu n’avais pas réagi quand il t’avait expliqué sa réelle nature. Un loup-garou. T’avais ri. T’étais hystérique, tu voulais crier mais le néant t’avait submergé. T’avais perdu connaissance, te réveillant plus tard dans son lit. T’avais sursauté, bondissant sur tes jambes alors qu’il avait essayé de se rapprocher. Non. Tu ne voulais pas qu’il s’approche de toi. T'étais bonne pour l’asile psychiatrique parce que tu pensais voir des choses insensées, surnaturelles. Il avait soupiré Marco. C’est la vérité, avait-il dit. Il est bel et bien un loup-garou et maintenant, son destin est entre tes mains. Tu pouvais le dénoncer. Tu pouvais être sa perte. T’avais ce pouvoir et pourtant, tu ne le voulais pas parce que tu l’aimais. Comme il t’aimait. Comme il venait de te l’avouer sans oser se rapprocher de toi. Le monde surnaturelle n’était pas un mythe. Les créatures obscures étaient là, étaient parmi les humains et l’homme que tu aimais en faisait partie. Tu ne voyais qu’une seule et unique échappatoire. Partir. Ensemble. Partir loin de ton père qui voulait te pousser à épouser un homme qui te répugnait. Partir loin et commencer une nouvelle vie, ensemble, Marco et toi. Le soir même, vous avez quitté le quartier. Vous avez quitté Oslo. Votre destination n’était autre que Rome, la ville natale de l’homme que tu aimais. Tu lui avais demandé de te transformer et à plusieurs reprises, il avait refusé. Ses refus ne t’avaient pas ébranlé. Ta décision était prise et tu voulais être avec lui jusqu’à la fin de tes jours. La férocité, la force physique ne t’intéressaient pas. Tu voulais seulement être à ses côtés et finalement, il avait accepté. Même si les premiers mois de votre vie commune s’étaient bien passés, les problèmes avaient surgi. Ton mari était traqué par des chasseurs du monde obscur. Ils voulaient vous annihiler alors que t’étais qu’une petite louveteau en quête d’apprivoiser tes nouveaux pouvoirs. Et tu avais fauté Calypso. Tu avais été prise au piège. Des armes étaient pointées sur toi. Dans la forêt, ils pouvaient te tuer sans que personne ne vienne à ton secours et puis, qui pouvait bien s’intéresser à une petite louve ? Personne. Personne à part lui, ton mari. Dans sa forme animale, il t’avait jeté un regard. Un seul regard qui ne voulait dire qu’une chose ; sauve toi. Cours loin, dans la forêt, cours et vis. T’étais exécutée. Tu avais couru parce que telle était la volonté de cet homme que tu avais aimé plus que tout. Un homme, une part de toi-même que t’avais perdu à tout jamais, cette nuit là.
I Almost Loved You La forêt était devenue ta maison. Dans ta forme animale, tu avais trouvé des cachettes, des petits trous qui te permettaient de ne pas subir le froid glacial ou la chaleur étouffante. Au bout de quelques mois ou peut-être des années, la traque avait cessé et pourtant, tu ne voulais en aucun cas quitter ton nouveau foyer. Tu errais. Seule, blessée, meurtrie et extrêmement triste. Tu ne mangeais qu’à ta faim. Ton pelage blanc avait perdu de sa magnificence à force de dormir dans la boue. T’avais perdu le fil du temps. Chronos n’était qu’une entité lointaine. Ta part humaine aussi. Ce fut ainsi jusqu’à ce qu’elle te retrouve. Elle était douce quand elle s’était rapprochée de toi. Malgré le fait de lui montrer les crocs, malgré ta position d’attaque, elle n’avait pas fléchi. Ses yeux avaient brillé et tu avais gémis. Elle était plus forte et elle t’avait poussé à reprendre ta forme humaine. T’étais en pleure. Tu voulais crier et elle t’avait calmé. Leila t’avait sauvé de toi-même ce soir-là. Elle était là quand t’étais prête à ne plus te battre. Elle t’avait recueilli, offert un lit douillet et surtout, une épaule sur laquelle tu pouvais déverser toutes les larmes de ton corps. Elle était Alpha d’une meute. Elle t’avait proposé d’en faire partie et tu avais accepté. Tu devais exaucé le souhait de ton mari, celui de vivre parmi les tiens, celui de persister parmi ces gens. Ils devinrent tes amis, ta famille. Leila t’avait enseigné comment te battre. Elle t’avait aidé à dompter tes pouvoir comme un réel guide. Tu trouvais ton salut à ses côtés et t’étais prête à te sacrifier pour la cause, la votre. Alors naturellement, t’étais là. Tu ne voulais en aucun cas te cacher. Tu ne voulais pas jouer les lâches. Tu voulais que Marco soit fier de toi. De là où il était, tu voulais qu’il ait la paix et que justice soit faite. La guerre ne t’avait pas changé Calypso. Du moins, pas en mal. Au contraire, t’étais devenue plus forte, plus résistante. Ta détermination pouvait bouger des montagnes et du louveteau expérimenté, t’étais devenue une louve accomplie.
Apocalypse Woman La guerre était finie mais ta tâche au sein de la meute débutait à peine. T’avais gravi les échelons. Tu as su démontrer ta place parmi les tiens. T’avais aussi appris à embrasser et embraser ta condition de loup-garou. Plus rien ne pouvait t’arrêter. Tu n’avais plus besoin de te cacher dans les ténèbres non. Tu avais appris à marcher dans la lumière, la tête haute. Qu’on te vénère, qu’on te déteste, ce n’est pas le plus important pour toi. Toi, tu vis ta vie comme tu l’entends. Tu fais ce qui te semble correct et ton esprit affûté t’aide dans cette manœuvre. La transition avait été tout de même un peu difficile. T’avais passé une grande partie de ta vie à être traquée. Mais maintenant, tu peux exercer n’importe quel boulot et naturellement, tu t’étais tournée vers le bar de ton Alpha, la Pleine Lune. T’avais commencé comme serveuse et petit à petit, t’étais imprégnée de ce nouveau mode de vie. Tu es gérante depuis un an. Un boulot qui te va à merveille comme celui que tu exerces au sein de la Brigade Nocturne. Leader de ton espèce, tu as bataillé pour former une cellule spécialisée dans la recherche des origines de l’épidémie. Ce fléau t’avait hanté jour et nuit et tu voulais comprendre. Tu voulais trouver les réponses à toutes les questions posées par ton espèce. T’avais perdu des êtres chers à ton coeur. T’avais perdu tes amis, des personnes qui t’avaient tendu la main quand t’en avais besoin. Et maintenant, c’est à toi de leur rendre la pareille en cherchant un remède. Ton quotidien est loin d’être tranquille. Parfois, tu rêves encore de lui, Marco et si tu persistes, c’est pour ne plus perdre des gens aimants. Ceci est ton devoir, ta destinée.
Dernière édition par Calypso Dahl le Ven 22 Mar - 0:25, édité 4 fois |
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J'ai débarqué à Rome le : 22/08/2018 , j’ai déjà envoyé : 493 textos, d’ailleurs, j’ai récolté : 164 | Sujet: Re: Calypso ~ Within The Presence Of Absence Jeu 4 Oct - 14:43 |
| re bienvenu chez toi et ce choix d'avatar de ouf bon courage pour l'écriture ! |
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| Sujet: Re: Calypso ~ Within The Presence Of Absence Ven 5 Oct - 2:02 |
| Rebienvenue J'espère que tu pourras plus t'amuser avec ce perso ! |
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J'ai débarqué à Rome le : 28/09/2018 , j’ai déjà envoyé : 376 textos, d’ailleurs, j’ai récolté : 31 | Sujet: Re: Calypso ~ Within The Presence Of Absence Ven 5 Oct - 2:25 |
| Je ronge mon frein, j'ai pas vu cette fiche avant :red: T'façon j'aime pas Hadig Fait la moi aimer, et je suis trop curieuse de la race du coup Vite rédige moi ça :red: |
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| Sujet: Re: Calypso ~ Within The Presence Of Absence Dim 7 Oct - 18:13 |
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| Sujet: Re: Calypso ~ Within The Presence Of Absence Dim 7 Oct - 20:07 |
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J'ai débarqué à Rome le : 15/07/2018 , j’ai déjà envoyé : 1179 textos, d’ailleurs, j’ai récolté : 98 | Sujet: Re: Calypso ~ Within The Presence Of Absence Mer 10 Oct - 19:15 |
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| Sujet: Re: Calypso ~ Within The Presence Of Absence |
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| | | | Calypso ~ Within The Presence Of Absence |
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