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Contexte & cie » Même sur Die ac Nocte, nous possédons quelques règles, un univers bien précis à apprivoiser, à comprendre. Pour ce faire, cette partie a été faite pour vous. C’est ici que vous commencerez votre aventure, que vous trouverez de quoi comprendre le forum.
VOUS LES COPAINS, JE NE VOUS OUBLIERAI JAMAIS pianissimmo (aglaé&adonis) 2521561984
Après une jolie année, DAN ferme ses portes. Vous pouvez lire les petites explications et les petits mots du staff ici pianissimmo (aglaé&adonis) 3308333368
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 pianissimmo (aglaé&adonis)

         

Adonis Valente-Gennani

Adonis Valente-Gennani
J'ai débarqué à Rome le : 28/09/2018 , j’ai déjà envoyé : 376 textos, d’ailleurs, j’ai récolté : 31
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MessageSujet: pianissimmo (aglaé&adonis)   pianissimmo (aglaé&adonis) EmptyMar 16 Oct - 19:38

Un verre de bourgogne à la main, Adonis rit avec le client qu’il avait en face de lui. Pas un baron de la drogue, pas même quelqu’un de son niveau, mais il avait la chance de bien manger ce soir-là et en compagnie d’une personne qui était cultivée et intelligente en affaire. Tout était clos et ils profitaient d’un dernier moment ensemble avant de se séparer comme il se devait. Dans quelques jours, il pourrait bénéficier d’autres fournitures que la drogue du clan Moretti et il en était satisfait. Dépendre d’eux n’était pas une bonne chose et il était très calé pour le savoir. Les Moretti, c’était quelque chose qui sonnait à son oreille comme une erreur ou bien comme une bêtise de jeunesse, mais il ne regrettait rien le Valente, il ne fallait jamais regretter et accepter ses erreurs, histoire de savoir à quoi on s’engage si on vient à les commettre de nouveau. Il finit son verre et se lève afin de serrer la main de ce collègue de travail inespéré, le suivant jusqu’à la sortie du restaurant jusqu’aux notes de piano qui viennent le frapper. Il connaissait bien des sons, de là à se dire mégalomane, il ne le pensait pas, mais ce son était une création personnelle qu’il avait déjà entendue. Du moins, il le croyait farouchement, jusqu’à fausser compagnie à cet homme qui lui avait tenu la jambe durant toute la soirée, il retourne prendre une place au bar pour entendre ce qu’il entendait depuis l’entrée. De la musique aussi douce que touchante, témoignant d’un savoir-faire et d’heures innombrables de pratiques.

Vêtu d’un costume bleu marine aux motifs argentés, Adonis s’accoude pour voir la pianiste. Enfant qu’il connaissait bien quoiqu’on en dise. Aglaé était là. Simplement vêtue d’une élégante robe, ses cheveux coiffés de sorte qu’elle soit mise en valeur. Adonis savait ce que peu de personnes savaient malheureusement. Cette cécité qui gâchait la vie. C’était son fardeau et quand Arès n’avait pas pu prendre soin d’elle, car il voulait rester à l’écart des D' Angelo, c’était Adonis qui s’était amusé à la protéger, à la voir autrement qu’une enfant banale. Mais comme la sœur de son meilleur ami. Et elle était inestimable. L’un de ses points faibles à n’en pas douter.

Pourtant, c’est avec quelques verres de bons vins qu’il attend la fin de la performance qui dure jusqu’à tard. Minuit était indéniablement passé quand elle se lève et qu’elle salue, malgré le fait qu’elle ne voit rien du tout. Il demande au serveur où se situait la sortie des personnes qui venaient officier dans leur établissement. Mais il se fait plus courtois et lui propose de l’amener à l’arrière, afin qu’il puisse discuter avec la pianiste, mais que de toute façon, elle repartait en général très rapidement chez elle. Valente sourit simplement, se levant afin de suivre le garçon jusqu’à l’endroit où se trouvait la demoiselle. « Laissez ». Lance-t-il alors que le serveur allait frapper à la porte de ce qui ressemblait à une loge. Il ne fallut que quelques minutes à Adonis pour rentrer d’un pas feutré. Peut-être se changeait-elle et alors qu’en serait-elle s’il l’observait dans un tel moment. Quand il la voit de dos, il vient juste poser sa main dans le creux de ses reins, l’autre sur la naissance de son cou. « Encore une performance formidable, ô Aglaé, il faudra me donner ton secret un jour pour être aussi captivante. » De la drague ni plus ni moins, mais il ne doutait que peu de l’effet que pouvait faire sa voix, elle qui ne pouvait que sentir son parfum, frémir sous ses mouvements et le son de sa voix. C’était un atout. Il l’embrasse pour la saluer, tout prêt de son oreille. « Tu étais remarquable, mais tu ne m’as pas dit que tu jouais ce soir, sinon je t’aurais emmené ici et je t’aurais ramené chez toi. Un concert imprévu peut-être ? » Il est suave et la délaisse pour prendre place dans un fauteuil non loin. « Qu’as-tu pensé de toi-même ce soir ? Car, même si tu ne… » Peut pas te voir. « Tu es délicieuse. »
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MessageSujet: Re: pianissimmo (aglaé&adonis)   pianissimmo (aglaé&adonis) EmptySam 20 Oct - 14:24


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☾ ☽
Roulée en boule sur le canapé du salon, Aglaé lisait tranquillement avec un fond sonore de musique aléatoire lorsque son portable sonna soudainement, la faisant sursauter dans la manœuvre. Aussi rapidement que possible, elle cala son marque-page dans son lit et chercha son portable en tapotant sur le canapé à ses côtés. Elle répondit tout juste à temps. Le restaurant Fuorinorma l’appelait pour lui proposer de jouer dans la soirée. Le pianiste qu’il avait engagé venait de se rétracter et comme elle avait déjà joué pour eux, ils savaient à quoi s’en tenir. Elle accepta bien entendue. Aucunement, Aglaé ne pouvait se permettre de décliner une telle offre. Seulement, elle avait un petit problème… Fuorinorma était un restaurant classe et une tenue de circonstance lui était indispensable, tout comme la coiffure. Ce fut, ainsi, tremble et quelque peu stressé qu’elle appela sa sœur aînée. C’était toujours vers elle que la blondinette se tournait dans ces circonstances.

Heureusement, elle fut prête dans les temps après s’être laissé pouponner par sa sœur. Elle ne se sentait pas spécialement à l’aise dans la robe qu’elle lui avait fait mettre, mais elle devrait le supporter. Au moins, elle ne serait pas embêtée pour jouer et sa sœur lui avait consciencieusement préparé un change pour son retour à la maison tard dans la nuit. Un point qui avait ouvert un débat, mais Aglaé se sentait capable de le faire. Au pire, elle appellerait un taxi, ce n’était pas gênant. Prête, elle se rendit donc au restaurant où un jeune homme la guida dans une loge. Ce serait là où elle pourrait déposer ses affaires et se changer après sa représentation. Elle n’y resta cependant que peu de temps. Elle y déposa juste ses affaires et mit ses lunettes de soleil. Elle serait plus à l’aise ainsi. Puis, on la guida jusqu’au piano. A peine installée, elle pu sentir toute la tension la quitté et lorsqu’elle joua la première note, il n’y avait plus qu’elle.

La dernière note résonait encore lorsque Aglaé fut de nouveau engloutit par la réaliser. Quelques applaudissements résonnaient alors qu’elle saluait convenablement avant de se laisser guider jusqu’à sa loge. Elle attendit que la porte se referme et qu’elle soit enfin seule pour retirer ses chaussures et enfiler son jean. Soudainement, elle se figea. C’était stupide, elle devait être seule dans la pièce et pourtant… Ce fut le contact d’une main dans sa nuque et une autre dans le bas de son dos qui lui donna raison. Elle aurait dû être terrifiée, mais un parfum familier lui parvenait et cette voix. Son coeur s’emporta aussitôt, bêtement alors que ses joues prenaient une teinte quelque peu rosées. Adonis. Le meilleur ami de son aîné et petit coup de coeur – le coup de coeur d’adolescente -. ❝ oh.. je...euhm… merci.. mais… je ne suis pas si captivante, tu sais… ❞ bafouilla-t-elle, gênée. Après, tout, elle n’avait pas conscience de tous les regards portés sur elle, de toute l’attention à laquelle elle avait le droit lorsqu’elle jouait. Et surtout, elle n’avait jamais imaginé attirer celle de son aîné. La rougeur de ses joues s’accentua tout comme les battements désordonnées de son coeur lorsque Adonis reprit la parole. ❝ ce… n’était pas prévu… ils m’ont prévenue au dernier moment et … je ne voulais pas t’embêter...❞ Clairement, elle estimait qu’il avait bien mieux à faire que de passer du temps avec elle. Peu sûr d’elle, Aglaé n’avait nullement conscience de ses atouts, physique ou non.

Lorsque le contact de son aîné se dérobe et qu’elle entend ses pas s’éloigner, Aglaé réalise qu’elle retenait quelque peu sa respiration. Elle se sentait stupide… Doucement, elle s’assit sur la chaise la plus proche d’elle. Ce qu’elle avait pensé d’elle ? Elle aurait pu faire mieux, elle le savait. Délicieuse ? Gênée, elle passa une main dans sa crinière, relâchant le chignon, qu’elle avait commencé à défaire légèrement auparavant, par la même occasion. Mince ! Stupide ! Elle remit autant d’ordre que possible dans sa crinière d’or tombant dans d’élégantes boucles sur ses épaules. ❝ tu exagères… je… j’aurais pu mieux faire… et ma tenue je la dois à Aphrodite... ❞ Elle n’aurait jamais choisir ce genre de tenue d’elle-même ! Et encore moins en sachant qu’Adonis serait présent !

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Adonis Valente-Gennani

Adonis Valente-Gennani
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MessageSujet: Re: pianissimmo (aglaé&adonis)   pianissimmo (aglaé&adonis) EmptyDim 18 Nov - 3:25

L’italiano jordanien avait bien du temps à perdre pour venir ainsi visiter la petite d’Angelo dans sa loge, une chose était certaine, c’est qu’il aimait uniquement son doigté au piano, rien n’y était comparable et ça l’arrangeait toujours de se trouver dans une pièce où elle jouait. C’était la clé d’une soirée réussie en général. N’en déplaise à Arès qu’il fréquente de la sorte la benjamine de sa famille, mais Aglaé était malgré tout une jeune femme cultivée et belle avec qui il aimait passer du temps. Même s’il ne doutait pas un instant du charme certain que pouvaient avoir ses paroles sur l’enfant, ses joues rougies sur son teint pâle et ses cheveux blonds, ça le faisait doucement sourire dans son costume. « Oh.. Je... euhm… merci.. Mais… je ne suis pas si captivante, tu sais… » Il agite une main qu’elle ne voit pas en reprenant doucement. « Laisse-moi donc en décider Aglaé. » Il avait son propre avis sur la question et elle restait un peu idéalisée dans l’idée du parrain. La délaisser de la sorte, c’est un peu lui donner une liberté relative, même si lui et Arès étaient toujours sur le qui-vive quand ça concernait les deux femmes de cette famille. Mais Adonis n’avait pas cette méchante alchimie avec Aphrodite et il ne la recherchait pas non plus à vrai dire. « Ce… n’était pas prévu… ils m’ont prévenue au dernier moment et… je ne voulais pas t’embêter... » Il hausse un sourcil, voilà une chose bien cruelle que de déranger une jeune femme dans sa soirée pour un remplacement de dernière minute. Mais vu le luxe de l’établissement, Adonis imaginait qu’ils devaient se parer à toutes les éventualités pour plaire au plus grand nombre. Il se redresse dans son fauteuil en la regardant. « Combien de fois vais-je devoir te dire que tu ne me déranges pas, j’ai un téléphone portable, il est là pour ça. » Malgré qu’elle ignore également les activités auxquelles il se livrait avec la mafia dont il avait hérité. Et même celle d’Arès et pour son bien, il fallait bien que cela reste entre les deux hommes. Et il n’avait aucunement envie de parler de la maison close ou bien de trafic d’armes avec Aglaé. C’était l’inquiéter, la mettre en danger pour rien, et même faire baisser l’estime qu’elle pourrait avoir d’Arès. Son estime à lui ? Adonis s’en fichait, tant qu’elle gardait de bonnes relations avec sa famille. Cependant, il se mord la lèvre quand il la voit défaire ses cheveux. Ce genre de geste avait le don de le rendre fou sans le vouloir. Hélas, il devait avoir un minima de retenue. Elle n’était pas n’importe quelle personne. « Tu exagères… je… j’aurais pu mieux faire… et ma tenue je la dois à Aphrodite... » Elle retient un soupir. Mieux faire ? Elle faisait déjà mieux que la plus grande partie des pianistes de Rome, tout en étant privé de sa vue, que lui fallait-elle de plus ? Il se relève, pour prendre son menton entre ses doigts et voir ses joues rougies. Adonis, il ne sait pas faire sans être tactile, c’est sa façon à lui de dire qu’il est proche de quelqu’un. « Arrête, ça suffit. Ce n’est pas à ta sœur que tu ne dois ton talent, ni ton port de tête, ou encore la courbure de ton dos Aglaé. Apprends à t’apprécier. Juste un peu, tu verras ta vie seras bien plus douce. » Il est à la fois amusé et sévère. Cependant, quand il voit ses joues, il en caresse une du bout des doigts. Demandant simplement en sachant qu’elle comprendrait grâce à ses gestes. « Pourquoi ? » Pourquoi tu es comme ça quand je suis présent ?
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MessageSujet: Re: pianissimmo (aglaé&adonis)   pianissimmo (aglaé&adonis) EmptyDim 16 Déc - 16:23


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☾ ☽
La note toujours en suspend, Aglaé se releva avec grâce et s’inclina légèrement pour saluer la foule plongée dans les ténèbres. Là, timidement, elle glissa sa main sur le bras de son guide et suivit ce dernier jusqu’à sa loge. La porte aussitôt fermée, l’Italienne quitta ses chaussures à talons et enfila son jean. Elle s’apprêtait à continuer lorsqu’un bruit résonna. Une sensation étrange la tirailla, l’impression d’être observé. Ce fut un contact qui lui donna raison. Elle aurait dû paniqué et elle aurait pu si le parfum dans l’air ne lui était pas si familier. Aussitôt et un peu bêtement son coeur s’emballa sous les compliments d’Adonis. Si seulement il pouvait se rendre compte de l’effet qu’il avait sur elle. Ce coup de coeur, presque enfantin, qu’il représentait pour la blondinette. Chacun de ses compliments la mettait mal à l’aise tout en lui donnant un peu plus confiance en elle-même. Une sensation étrange, faussée sans même qu’elle ne s’en rende compte.

Aglaé pinça légèrement ses lèvres à ses paroles. Il aurait pu l’emmener ? Oh, mais elle n’aurait jamais osé le déranger ainsi à la dernière minute ou bien le déranger tout court. Elle ne pensait pas avoir une si haute estime auprès d’Adonis pour que ce dernier prenne le temps de la conduire ainsi. Un léger sourire se glissa donc sur ses lèvres à la réponse de ce dernier. Il était vrai qu’il le lui répétait souvent, mais à chaque fois, elle venait à penser la même chose. Peut-être que la prochaine fois, ce sera différent. ❝ je m’en souviendrais. s’il y a une prochaine fois… merci. ❞ souffla-t-elle juste avant que le contact de son aîné se rompe et qu’elle se rende compte qu’elle retenait quelque peu sa respiration jusqu’à présent.

Se détendant légèrement, elle entendit Adonis s’éloigner. Certainement pour prendre place dans l’un des fauteuils présent dans la loge. Là, une fois encore, son aîné créa une pluie de compliments à son égard. Gênée, elle passa instinctivement une main dans sa crinière, finissant ainsi que relâcher sa longue crinière de blé. Mince… Elle y remit autant d’ordre que possible en répondant à son aîné qu’elle aurait pu faire mieux. Elle pouvait toujours faire mieux. De plus, n’ayant aucune conscience de sa beauté et de sa présence, elle mit tout cela sur le travail de sa sœur pour lui faire une mise en beauté digne de l’établissement.

Un nouveau contact surprise.

Elle le pu que rougir davantage devant l’insistance d’Adonis. Elle devait apprendre à s’apprécier ? Très certainement. Elle avait tendance à se dévaloriser depuis fort longtemps. Elle n’estimait pas avoir la force ou la beauté de son aîné. Elle ne se doutait pas non-plus le regard des hommes sur elle. Non. Une part de naïveté persistait face à tout cela. Elle ne sut quoi répondre et plus encore lorsque Adonis effleura ses joues rougi par la gêne en lui demandant la raison d’une telle teinte. Comment pouvait-elle lui dire que son contact, que ses compliments n’étaient pas sans effet sur elle ? Il était le seul homme à lui accorder une certaine attention en dehors des membres de sa famille. Le seul à l’approcher de cette manière. Ce fut donc plus gênée que jamais qu’elle tenta une réponse, bafouillant quelques mots. ❝ je… euhm… parce que ça vient de toi… les compliments et euhm… l’attention... ❞ Avait-elle conscience qu’elle se fourvoyait ? Probablement pas. Comment aurait-elle pu, protéger comme elle l’était, découvrir ce que ces sentiments cachaient vraiment ?

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