Contexte & cie » Même sur Die ac Nocte, nous possédons quelques règles, un univers bien précis à apprivoiser, à comprendre. Pour ce faire, cette partie a été faite pour vous. C’est ici que vous commencerez votre aventure, que vous trouverez de quoi comprendre le forum.
VOUS LES COPAINS, JE NE VOUS OUBLIERAI JAMAIS
|
| Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. | |
| |
| Sujet: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. Sam 18 Aoû - 10:54 |
| Onyx Louis De Malherbe « Petite citation de votre personnage, citation ici »
Dernière édition par Onyx L. De Malherbe le Mer 22 Aoû - 0:17, édité 10 fois |
| | |
| Sujet: Re: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. Sam 18 Aoû - 10:54 |
| NOS FABULAM NARRAT « Petite citation du personnage machin » Mr. De Malherbe ¤ Onyx L. De Malherbe ¤ Olympe De Briant ¤ Hadrian ¤ Autre-« M’enfin très chère ! Veuillez vous calmer. Votre hystérie n’aide en rien. »La posture altière et le calme qui se dégageait de l’homme déjà âgé à barbe grise qui fixait sa femme bien plus jeune imposait un respect presque immédiat. Le contraste était suffisamment saisissant pour que même du haut de ses six ans, le jeune garçon qu’était Onyx le remarque. Les mains croisées dans le dos, il regardait le couple se déchirer une fois de plus à son sujet. Oh, il était coupable d’avoir probablement fait exploser les miroirs de la chambre de sa mère pour se venger de la dernière punition que cette dernière avait inventée pour le punir de son existence. Mais, il était plutôt nonchalant sur la question. Il savait que son père laisserait passer et lui donnerait raison. Il ne considérait pas son fils comme un monstre. Et la résistance naturelle que ce dernier semblait faire preuve face aux maladies qui emportaient les enfants de son âge l’avaient conquis. Après avoir perdu sa première femme en couche et les six enfants de cette première union entre la naissance et l’âge de trois ans, tous ce qu’il désirait était un enfant, un héritier. Louis était tout ce qu’il avait désiré jusque-là. D’une voix ferme, il renvoya la jeune femme dans ses appartements, restant seul avec le jeune sorcier. -« Montre moi tes yeux Onyx, tes superbes yeux. »Tout en s’asseyant à ses côtés et en laissant à ses yeux la liberté d’exister, Onyx écoutait son père lui raconter ces histoires de sorciers. A propos du grand sorcier de Saint-Germain et de la magie qui coulait dans ses veines. Il n’avait appris que bien plus tard d’où son père connaissait toutes ces fables, comment ce dernier avait su ce qu’il était. Un cousin éloigné. Mais son père, malgré l’amour qu’il lui portait, ne pouvait lui accorder plus de temps. Et c’est dans les griffes d’une mère profondément religieuse et stricte qu’il grandit. Enfance solitaire, éloigné de tout autre enfant de peur qu’il ne les « pervertisse ». Et il faut dire que la facilité avec laquelle Onyx était capable de s’échapper, roi de la disparition et des portails, rendait fou tout son entourage. En équilibre sur les toits, au fin fond de la grange ou cacher sous les jupes de la cuisinière, sa mère avait bien du mal à ce que les rumeurs au sujet de la différence de l’enfant ne s’ébruitent pas. Et l’adolescence s’avançant, il devenait d’autant plus incontrôlable. Jusqu’à cette correspondance dans laquelle cette femme acariâtre trouva enfin un réconfort. Un long voyage vers une autre région de la France avant qu’enfin le secret ne se révèle à lui. On lui faisait rencontrer une autre enfant. L’excitation grandissante qui le saisissait était masqué par son éternel masque de flegme calme et délicat qu’il avait emprunté à son père. La porte s’ouvre sur un visage délicat, des cheveux blonds et une politesse presque forcée. Mais, il pouvait le sentir en elle, cette énergie qui vibrait comme la sienne : -« « Je suis ravie de faire votre connaissance, Monsieur. »-« Mademoiselle, c’est un plaisir partagé. »Et pour la première fois de sa vie, il voyait devant lui une amie. Une semblable. Et la magie de ces deux êtres solitaires se mélangea comme si elle n’avait attendu que ça. ¤¤¤¤¤¤¤¤ Le vent froid s’engouffra dans ses vêtements alors qu’il sortait de son portail en belle compagnie. Emmener Olympe dans ce château où il avait grandi pour lui faire rencontrer son père lui paraissait être une bonne solution avant. Le vieil homme ne bougeait presque plus de son domaine, la vieillesse avait eux raison de ses articulations mais, il avait toujours l’affection de ce fils qu’il avait élevé comme le sien. Arrivée devant le mur extérieur de l’escalier menant à la chambre de son père, il ouvrit un nouveau portail et lui tandis la main pour l’aider à enjamber le cercle de magie. Ils montèrent les marches unes à unes. Pour Onyx comprendre la douleur de son amie face à la disparition de sa mère était… impossible. Il aurait donné n’importe quoi pour voir sa propre mère, cette bigote ignorante mourir et offrir une vie plus longue à l’homme dont la flamme s’éteignait doucement. -« Bienvenue au Château De Malherbe Mademoiselle De Briant. Puis-je vous présenter mon père. »Il regardait son ami de ses yeux noir d’Onyx tandis qu’ils grimpaient l’escalier. Toquant délicatement à la porte en bois, il attendit l’autorisation d’entrée et se présenta dans une courbette prononcée. -« Père, laissez moi vous présenter mon amie Olympe de Briant. »La toux qui s’ensuivit sa remarque lui brisa le cœur et il s’approcha du lit, offrant à cet homme la vision de ces yeux qu’il avait toujours adorés, qu’il avait toujours réclamé. Une main ridée qui se pose sur sa joue et les larmes qui se battent dans le cœur du sorcier. Onyx n’était pas un sentimental, il ne s’attachait que peux aux gens. En dehors d’Olympe, son père était la seule personne qui avait gagnée le droit d’être dans son cœur. Parce qu’il faisait partie de ceux qui l’avaient aidé à construire la partie la plus douce de sa personnalité. -« Mon fils, c’est donc cette enfant aux yeux d’Améthystes dont tu me parles dans tes lettres ? Me ferait-elle le plaisir de s’avancer. »C’est en bon seigneur qu’il s’éloigne pour lui laisser la vision de son amie, la curiosité paternelle dont il avait hérité faisant alors apparition. Un sourire au bord des lèvres, il les laisse à leurs discussions, à la découverte. Habitué à être patient, il offre une chance à son amie de découvrir l’acceptation. Mais, le temps de découverte touche à sa fin, et il s’approche une dernière fois de son père. -« La cour de France mon fils. Portes-y fièrement le nom des Malherbes, je te laisse mon honneur. »Ce fut l’une des dernières fois qu’il vit son père en vie. ¤¤¤¤¤¤¤¤ -« Mon ami, je te demande d’être honnête avec moi. Je ne peux certes pas lire dans les esprits, mais j’ai des yeux. Et je vois bien la façon dont tu la regardes. »Cela ne faisait aucun doute pour lui qu’Olympe et Hadrian s’aimaient. Onyx avait rencontré Hadrian en arrivant à la cour de France, lorsqu’ils s’étaient entraînés à l’escrime ensemble. D’un humour semblable et d’une approche de la vie très similaires, ils s’étaient ainsi rapprochés jusqu’à ce qu’Onyx décide de présenter le jeune homme et sa femme, Elena, à Olympe. Il se souviendrait toujours de la lueur dans les yeux de sa première amie, et cet éclat qui était né en retour dans ceux de son coéquipier. Onyx avait toujours été très doué pour lire les émotions sur les visages. Un talent plus qu’un pouvoir magique. Il s’en servait, bien entendu, séducteur à ses heures, cherchant l’amusement autant dans le lit de certaines de ces nobles aux corps lacets de corsets ou auprès de celui bien plus chaleureux de servantes. Le rang n’était pas pour lui un critère d’élimination dans ses plaisirs. Et dans cette soirée de fête, une fois de plus, il voyait cet attachement grandir par de simples gestes. Oh, il avait confirmé cette attirance du côté de cette chère Olympe. Mais Hadrian semblait être bien plus discret sur ses sentiments. Cette amitié représentait beaucoup aux yeux d’Onyx, et l’effacement du tutoiement dans son langage en était une preuve. Et dans un dernier effort de prouver sa bonne volonté, c’est une confession qu’il lui offre. -« Tu n’as pas à t’inquiéter de ma relation avec Olympe. Nous n’avons pas ce genre d’attirance l’un envers l’autre. »Mais, il était difficile d’expliquer la sensation d’une magie qui se fond dans une autre dans une forme de compréhension mutuelle. Ils avaient rompu leur isolement, et avaient compris qu’ils n’étaient pas les seuls monstres au monde. C’était ensemble qu’ils avaient pu découvrir encore davantage sur leurs pouvoirs, sur leurs natures. C’était ensemble qu’ils s’étaient rendus à la cour de France, auprès du Grand Sorcier de Saint-Germain pour enfin apprendre ce dont ils étaient capables. Ils avaient leurs secrets dans lesquels leurs deux autres amis Hadrian et Elisa ne pourraient sans doute jamais entendre. Le visage d’Hadrian sembla se détendre immédiatement. -« Aurais-tu donc un don pour me comprendre mieux que moi-même ? »Onyx voyait dans ses yeux la vérité. Mais il savait aussi que jamais il ne ferait honte à la femme qu’il avait épousé et qu’il respectait. Peut-être les aurait-il plaints s’il avait été une autre personne. Mais, la pitié n’était pas ce qu’ils recherchaient. ¤¤¤¤¤¤¤¤ La colère, la fatigue, la tristesse. Ces trois éléments finissaient toujours par se saisir de son cœur quand il repensait à cette nuit. Et la lueur qu’il avait croisé dans le fond des yeux de son ami Hadrian en cette soirée le ramenait à ce choix décisif. Faire de lui un vampire, pour lui permettre de vivre. Ces satanés vampires, ces êtres abjects qui avaient choisi leur vengeance et avait détruit la dynamique de leur quatuor, avaient sectionné une partie de leur amitié. Olympe, son amie, avait choisi de disparaître sous le poids d’une culpabilité qu’il avait du mal à comprendre. Après avoir transformé celui qu’elle avait aimé en vampire, en l’éternel compagnon dont elle aurait toujours besoin, elle avait demandé à Onyx de l’aider à simuler sa propre mort. Prit entre deux étaux de l’amitié, le sorcier avait décidé de respecter les envies de celle qui l’avait accompagnée depuis son adolescence, son éternelle complice, celle avec qui il s’était fiancé pour lui épargner un mariage arrangé, pour permettre à ces deux tourtereaux de continuer à s’aimer. Tant de vérités partagées, tant d’éléments communs, de souvenirs. Les meilleures années de sa vie. Cette soirée s’était déjà enfuie dans les méandres du temps mais, elle continuait à marquer leurs esprits. Oh, les reproches avaient été de mises, s’étaient fait entendre pendant plusieurs semaines et plusieurs mois. Mais, jamais il n’avait quitté les côtés d’Hadrian et d’Elena. Il avait tenu la main de la jeune femme avec son meilleur ami alors que la lueur dans ses yeux s’éteignait sous la vieillesse. Ils avaient suivi son fils de loin tout au long de sa vie, avait vu leurs lignées s’éteindre. Ils étaient encore dans le pays de leurs ancêtres, à Paris, vivant des potions et des remèdes que créait Onyx. Encore un héritage de cette superbe poupée d’or. Le bruit d’une porte qui s’ouvre et deux silhouettes qui s’avancent vers lui, l’une soutenant l’autre qui vacillait. Donner son sang était un exercice fatiguant et en regardant Rémi et Amélie, Onyx leur était d’autant plus reconnaissant de leur gentillesse. Rémi était un humain descendant de fées, Amélie une humaine. Ils étaient cousins. Et ils étaient ses amants, ses amis, ses partenaires pour les années à venir. Mais aussi ceux qui offraient leur sang à Hadrian lorsqu’il ne se sentait pas de partir à la chasse. Le jeune homme se leva pour venir aider la jeune femme à allonger son cousin. Il fait glisser la tête du garçon sur un oreiller se penchant pour venir embrasser son front tandis que son amant attrapait maladroitement son haut. -« Restez avec nous ce soir. N’y allez pas. »Oh, qu’aurait-il donner pour se glisser entre ces deux corps chauds, pour entendre Amélie les faire rire avec ces commérages dont elle était si friande. Ces deux êtres lui avaient offert une stabilité qu’il n’avait jamais connus, lui avait offert un amour si différent de ce qu’il avait pu rencontrer jusqu’ici. Il appréciait chaque jour à leurs côtés tant il savait que ces derniers étaient comptés. La cour d’Henry IV n’était pas un lieu dans lequel il continuait à évoluer activement. Seulement en marge, même si la plupart des personnes l’ayant connu dans ses jeunes années étaient aujourd’hui disparues. Il aurait pu donc se permettre de s’y forger une nouvelle identité. Mais, ce n’était plus son but. Les luttes de pouvoirs, le jeu des intrigues était intéressant quand il pouvait y jouer avec ses compagnons de route. Ce n’était plus le cas. Amélie se pressa contre son dos comme pour le retenir encore d’avantage. Ils avaient peur pour lui. Ils s’inquiétaient pour lui. Il se retourna pour la serrer à son tour. -« Je dois y aller mes amours. Amélie, je te laisse finir de ranger nos affaires. Nous partirons demain dans la journée. C’est une histoire qui doit cesser, j’en ai besoin pour aller mieux. »Il la décroche tendrement attrape une fiole et dans un claquement de doigt ouvre un portail en direction du bois de Vincenne. C’est une horde de vampire qui l’attend. A leur tête celui qui avait osé s’en prendre à eux des années plus tôt. De Rougé. Il lui avait fallu du temps pour trouver cette créature, pour l’attirer dans ses filets sans qu’il ne sache qui se cachait derrière ces offres d’alliances. Un regard s’échange entre eux, profonde vérité d’une fin à venir. L’un deux ne s’en relèvera pas ce soir. Et ce serait le vampire. C’est une vengeance qu’il exerce en lançant la fiole d’une potion incendiaire dont ses pouvoirs font grandir le feu tandis qu’il fait durer le plaisir en regardant son ennemi mourir. D’autres vampires se jettent sur lui, mais les flammes de sa potion se déversent. Une longue bataille dangereuse dont le sorcier ne ressortit pas indemne. Epuisé et gravement blessé c’est ainsi qu’il retourne dans son repaire. Il entend les cris d’appel à l’aide d’Amélie, voit le visage de son ami Hadrian lui dire à quel point il a été idiot. Mais, il en avait besoin. Deux semaines plus tard, c’est une lettre de feu qu’il écrit à son amie Olympe pour lui annoncer le résultat ainsi que leur départ pour la Russie. Les nouvelles d’n incendie que personne ne saura jamais expliquer dans le bois de Vincennes venaient alimenter les discussions de la populace. Tant localisé qu’il fut déclaré comme l’œuvre du diable. Peut-être bien après tout. ¤¤¤¤¤¤¤¤ -« Un club de strip-tease? Quelle idée saugrenue Onyx. Mais, cela ne m’étonne pas de toi. Tu arrives toujours à m’étonner, même après toutes ces années. »Onyx lui offrit un petit sourire en coin. C’était ce genre de commentaire qui lui rappelaient toujours pourquoi Hadrian était son meilleur ami. Onyx ne s’étonnait plus. Plus depuis des années. Il s’ennuyait profondément. La vie n’avait pour lui plus aucun goût, plus aucune saveur. A traverser le globe de long en large et en travers à l’aide de ses portails. Après avoir quitter la France, avoir perdu Rémi et Amélie de vieillesse dans une Russie glaciale avait émousser sa capacité à vouloir s’attacher à qui que ce soit de mortel. Son amie Olympe lui manquait, son envie de continuer à vivre était étrangement faible depuis déjà une dizaine d’année. Et seul la présence d’Hadrian à ses côtés l’avait empêcher de chercher à se laisser prendre par des Shadow hunters pour en finir. Ce dernier avait tenter de le pousser à devenir un Grand Sorcier mais, le poids des responsabilités n’avait jamais été à son goût. Peut-être cela lui aurait-il donné une raison de vivre supplémentaire, mais il en aurait perdu sa liberté. Et il ne pouvait s’imaginer se priver d’une telle chose essentielle à son être. Et puis, il était difficile pour lui d’avoir une relation entièrement diplomatique avec des vampires. Il avait encore quelques ressentiments. Onyx n’était pas connu pour sa capacité à régler ses différents par la discussion. La mort d’un vampire tel que De Rougé n’était pas passer inaperçu et une réputation le poursuivait dans le monde des créatures de l’Ombre. Réputation qui lui offrait un calme relatif au cours de leurs nombreux voyages. -« Nous n’avons encore jamais eux l’occasion de réellement nous établir en Italie. Et Rome a un climat politique relativement intéressant pour nous. » Le cocktail qu’il descend dans un mouvement fluide a un goût amèrement habituel. La surprise, l’excitation, rien de tout cela n’existait plus dans sa vie. Et à Rome, il espérait pouvoir se reconstruire. Et offrir un point final à une histoire qui durait déjà depuis plus de quatre siècles. Hadrian et Olympe devait se rencontrer pour qu’enfin ces dernières ombres s’effacent des yeux du vampire et que les regrets cessent de fuiter le long des lettres qu’il recevait de celle qui aujourd’hui occupait le poste de Grande Sorcière de Rome. Onyx avait fait tout ce qui était en son pouvoir pour aider ses amis. Aujourd’hui c’était à eux d’enfin écrire les pages de leur histoire. -« Bien entendue, tu serais co-propriétaire du club. Cela va de soit. »L’éclat de rire de son compagnon lui confirma qu’il était prêt pour cette nouvelle aventure. Onyx se leva pour signer la fin de leur petit intermède boisson. Il avait une lettre de feu à écrire et une demoiselle à informer de leur arrivée. Il avait de toutes les manières planifier cela depuis plusieurs mois. La construction de son club était presque finit et il ne restait plus que les finitions.
Dernière édition par Onyx L. De Malherbe le Mer 22 Aoû - 0:01, édité 5 fois |
| | |
| Sujet: Re: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. Sam 18 Aoû - 11:00 |
| Bienvenue parmi nous, superbe choix de bouille !! |
| | |
| | | |
| Sujet: Re: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. Sam 18 Aoû - 12:37 |
| Michiel que de très bons choix en terme de pré-lien, pseudo, avatar et tout ce que j'ai pu lire j'adore j'ai du coup trop hâte d'en savoir plus sur ton personnage ! Bienvenue parmi nous et bon courage pour la suite de ta fiche |
| | |
J'ai débarqué à Rome le : 15/07/2018 , j’ai déjà envoyé : 1179 textos, d’ailleurs, j’ai récolté : 98 | Sujet: Re: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. Sam 18 Aoû - 13:19 |
|
Dernière édition par Olympia Emerald le Sam 18 Aoû - 16:04, édité 1 fois |
| | |
| Sujet: Re: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. Sam 18 Aoû - 14:45 |
| |
| | |
| Sujet: Re: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. Sam 18 Aoû - 15:18 |
| Bienvenue |
| | |
| Sujet: Re: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. Sam 18 Aoû - 15:50 |
| Bienvenue Le prénom est magnifique et le perso promet |
| | |
| Sujet: Re: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. Sam 18 Aoû - 17:58 |
| bienvenue sur le forum! Je vois que tu en fais une heureuse!! |
| | |
| Sujet: Re: Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. |
| |
| | | | Onyx ¤ Fidelity and friendship runs my world. |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|
|