Contexte & cie » Même sur Die ac Nocte, nous possédons quelques règles, un univers bien précis à apprivoiser, à comprendre. Pour ce faire, cette partie a été faite pour vous. C’est ici que vous commencerez votre aventure, que vous trouverez de quoi comprendre le forum.
VOUS LES COPAINS, JE NE VOUS OUBLIERAI JAMAIS
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| georgie // only gold is hot enough | |
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| Sujet: georgie // only gold is hot enough Ven 17 Aoû - 22:00 |
| Georgie Sargent « Tough times don't last, tough people do. » Nom Sargent Prénoms Georgie Date & lieu de naissance Londres, 2 Août 1994 Âge Vint quatre ans Origines Anglaises et italiennes Statut sentimentale Célibataire Orientation sexuelle Pansexuelle Métier Résidente en médecine à l'hôpital Umberto I Organisation // |
Homines Pseudo/nom kittenbeez Comment as-tu connu le forum? via nessaleth (aka Diane Herondale <3 ) Comment le trouves-tu GOOOOOOOORGEOUS /snap snap/ Fréquence de connexion 3/7 jours Ton âge soon to be 23 ! Multicompte? nopenopenope Avatar choisi Lili Reinhart Codes à remplir - Code:
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<pris>Lili Reinhart</pris> <a href="http://die-ac-nocte.forumactif.com/">▲</a> sargent georgie - Code:
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<i>sargent </i> |
Quaestionario « La fragilité n'est qu'apparence » Comment as-tu vécu la découverte du monde obscur ? Quel fut tes sentiments ? As-tu été angoissé, perplexe, apeuré ? Georgie n’est qu’humaine : sa première réaction a été celle de la peur, celle de l’outrage, celle de la colère. Elle n’avait jamais été de ces enfants qui dévoraient les ouvrages de fantaisie et qui rêvaient d’un monde avec vampires, loups garous, chasseurs de monstres. Sa première pensée fut « il faut se débarrasser d’eux, ils sont trop puissants, et donc trop dangereux ». Mais aussitôt la pensée formée que la honte la submergeait : qui était-elle pour juger sans preuve des êtres vivants ? Une humaine, telle était la réponse. Et pourtant, ce n’était pas une justification nécessaire à ses yeux : une souris ne juge pas le chat pour être au-dessus d’elle dans la chaîne alimentaire, pas plus que la mouche a du ressentiment pour l’araignée qui la capture dans sa toile. C’est ainsi, et ce le serait toujours. Alors, Georgie, bien qu’ayant le sentiment pesant d’être telle la souris ou la mouche, sous le sursis de l’horloge de la prédation, tente, tant bien que mal de garder l’esprit ouvert, et de laisser le bénéfice du doute à quiconque rencontre sa route, humain… ou pas. Comment vois-tu les Créatures Obscures et les Néphilims ? Représentent-t-ils un danger pour toi ? Une menace ? Où le contraire ? Les créatures obscures : Georgie n’en a que faire. Elle s’en méfie, elle reste sur ses gardes, et elle serait malhonnête si elle réfutait le fait que ses muscles ne se bandent pas, même imperceptiblement, lorsqu’elle est en contact avec un vampire, ou un sorcier. Elle a conscience que la balance des forces ne penche pas en sa faveur : elle se sait à leur merci, si jamais leur prenait de s’en prendre à elle. Mais il en est après tout de même avec nombre d’humains, qu’elle cotoie bien plus intimement, notamment en tant que résidente de médecine. Il en était de même pour les nephilims. Puis une chaude et humide nuit de septembre 2014 fit basculer les faveurs. Il avait suffi d’un vampire dissident, d’une gorge tranchée et de nephilims en mission. La poitrine dorée d’Adelina Sargent était découverte, immaculée. Les crocs du vampire n’y avaient laissé qu’une légère trainée de sang, qu’une compression aurait suffi à endiguer ; mais les nephilims n’avaient eu cure de ces considérations. Le vampire encore accroché à la peau sans défense d’Adelina, tel une tique avide de sang, fut transpercé, et sa victime avec lui. Et lorsque Kingsley Sargent s’en prit aux nephilims, loin d’eux l’idée d’épargner l’homme transpercé par le chagrin comme sa femme par la lame d’argent : il fut exécuté, tel un chien, et laissé pour mort dans cette ruelle de Rome. L’adolescente blonde de seize ans qui réceptionna les policiers, à environ cinq heures du matin, n’oublia pas. La douleur, marquée au fer rouge dans son être, la haine, n’étaient pas prêtes d’être effacées. Et aujourd’hui, à vingt-quatre ans révolus, si Georgie se considère adulte, elle n’a pas encore trouvé les ressources pour tourner la page. Les nephilims sont une mauvaise graine : les plus proches des hommes, et pourtant les plus éloignés, et ils n’en sont, d’après elle, que plus dangereux.
Lors de l’épidémie, as-tu été contaminé ? Si oui, comment gères-tu les symptômes ? Si non, des proches ont-ils été touchés, sont-ils morts ? Comment as-tu vécu cette maladie ? Elle était aux premières loges lorsque les premiers cas d’humains atteints se déclarèrent : elle était alors interne au service d’urgence de l’un des plus grands hôpitaux de Rome. Les urgentistes débarquaient avec des êtres qui n’avaient d’humain que leur apparence : ils se jetaient contre les murs, hurlaient des borborygmes sans signification, crachaient du venin dans des langues inconnues. La folie n’était pas une calamité étrangère au service des urgences : le trauma, la peur, faisaient souvent faire des choses étranges aux humains. Mais il y avait toujours moyen de trouver un point d’attache, d’y tisser une corde, et de ramener les patients au port de la clarté d’esprit ; au moins le temps de leur présenter la situation, ou de leur injecter un anesthésique pour opérer la démarche de prise en charge. Mais ces patients là … Rien ne pouvait les raisonner. La plupart finissaient par mourir sans que rien n’ai plus être fait. Leurs analyses sanguines ne révélaient rien d’anormal, pas plus que les scanner ou les IRM. Et les quelques survivants … Les quelques survivants semblaient avoir perdu une partie d’eux même dans le combat contre cette épidémie d’origine inconnue. Georgie n’a heureusement pas subit la contamination, au même titre que son cercle privé : les équipes médicales redoublaient de précautions. Il était hors de question que les médecins ou infirmières finissent dans les lits d’hôpitaux, car le monde ne s’arrêtait pas en raison d’une épidémie : le monde continuait de tourner, et le personnel médical était plus que jamais indispensable.
Fais-tu partie d'une organisation? Si oui laquelle? Qu'est-ce qui t'as poussé à rejoindre celle-ci? Si non, pourquoi? Les organisations ? La jeune femme les a peut-être presque autant en horreur que les nephilims. Tout ce qui se rapproche du dogme, de la religion est de l’ordre de la secte pour elle. Ses amis lui reprochent bien souvent d’avoir l’esprit trop fermé, d’être trop catégorique : mais Georgie exècre les règlements, l’autorité arbitraire. Elle a toujours été de celles et ceux qui refusaient de se faire marcher sur les pieds sous prétexte d’une autorité, d’une hiérarchie, même si cela est loin de lui faciliter la vie en société. Néanmoins, elle serait peut-être prête à en rejoindre une, dépendant de ce que l’avenir lui réserve. Elle est de ceux dont l’entièreté de son futur ne dépend que d’un léger souffle, pour la faire basculer d’un côté ou l’autre du fil sur lequel elle voltige depuis plusieurs mois, telle une ballerine. Alors, qui sait, peut-être sautera-t-elle le pas si elle venait à être repérée. Mais pour l’instant, il est certain qu’elle ne voit pas d’un bon œil ces regroupements « pro », ou « anti ».
Ton avenir, tu le vois comment ? As-tu peur d’y penser ? As-tu des craintes, des angoisses ? : Pour l’heure, Georgie se consacre à sa vie professionnelle : étant résidente urgentiste, elle ne manque pas d’occupations. Les journées commencent tôt, finissent tard. Elle fait partie de ces gens qui noient la colère dans le désir de bien faire, et même si la colère l’habite comme un vieux sentiment routinier, elle métamorphose cela en bienveillance face aux polytraumatisés de la route, aux femmes battues, aux victimes d’émeutes. Elle a l’intime conviction que le monde va finir par éclater plus qu’il ne l’est déjà. Elle a le profond sentiment que les nephilims font plus de mal qu’ils ne font de bien, et que tôt ou tard, cela leur retombera dessus. Si elle était une créature obscure, elle chercherait sûrement vengeance elle-même, mais elle n’est pas assez stupide pour cela : et elle a, après tout, mieux à faire que de courser des chasseurs d’ombres dont elle ignore seulement l’identité. Elle sauve des vies, et c’est tout ce qui compte, pour l’instant. Elle tente de raccommoder les erreurs de ce monde qui ne tourne pas rond.
Dernière édition par Georgie Sargent le Lun 20 Aoû - 21:16, édité 6 fois |
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| Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough Ven 17 Aoû - 22:01 |
| NOS FABULAM NARRAT « Times are tough, but I'm tougher »
Le soleil était haut et chaud… Du moins aussi chaud qu’il pouvait l’être dans le ciel britannique. Le petit cottage en pierre était perdu au milieu de la campagne anglaise, entouré de plants de tomates et de pommiers, et une petite fille blonde courrait en gazouillant entre les pousses et les bosquets, poursuivie par une jeune femme toute aussi blonde qui feignait de l’attraper, puis de la laisser s’échapper in extremis. Les Sargent étaient une famille heureuse : Kingsley et Adelina étaient médecins généralistes dans leur bourgade et dans la commune adjacente, et avaient acquis la reconnaissance générale. Cela n’avait pourtant pas été facile pour Adelina, italienne, qui avait dû apprendre l’anglais et s’intégrer à la culture de l’île, bien différente de la culture italienne, chaude et exubérante. Avec les années, Georgie finit par prendre quelques traits de ce pays qu’elle n’avait pourtant visité qu’à de rares occasions : elle en prit la force de caractère, la féminité assumée et revendiquée, l’esprit colérique parfois. L’enfance de Georgie ne fut pas des plus palpitantes : l’école, les soirées au coin du feu, enroulée dans un plaid molletonné lorsque la pluie faisait rage, un vinyle tournant sur la platine en harmonie avec le craquement du bois dans l’âtre de la cheminée. Pas de télévision, seulement des livres, éparpillés un peu partout dans la maison. Georgie délaissa très rapidement la fantaisie pour des livres plus « sérieux », plus « classiques », comme elle le disait avec un soupçon de snobisme. Mais ce fut une bonne enfance, un bon prélude à une vie qui lui réservait quelques surprises. Pas d’électricité entre les parents, pas de problèmes à l’école. Paisible. Puis vint l’école. Très tôt, Georgie su qu’elle voulait être médecin, comme ses parents. Alors, avec cet objectif en tête, elle dévoua une grande partie de son quotidien aux études, et ce depuis le collège, jusqu’à l’université, en 2011. Elle réalisa ses trois premières années de fac de médecine en Angleterre, à Londres : le nez plongé dans les livres sans relâche, elle finit par porter des lunettes si épaisses que ses yeux semblaient avoir doublé de volume, lui donnant des airs de grenouille ébahie. Elle n’eut pas beaucoup de succès, en amitié ou en amour : elle était loin d’être de ceux qui avaient des facilités, et, poussée par la détermination, elle se démener pour rester au niveau. Mais adieu soirées, fêtes, alcools : ces soirées endiablées, elle, elle les passait chez elle à réviser ou à dormir, car elle savait que de rudes journées de travail l’attendaient pendant le week-end. Au bout de trois ans de ce labeur épuisant, elle décida d’aller finir ses études en Italie, sur un coup de tête. Elle se sentait étouffer à Londres : le climat, les gens, l’école, plus rien n’avait de saveur à ses yeux, un goût de cendre aigre lui restait sur le palais. Elle avait besoin de se réinventer, elle avait besoin d’effacer de son esprit cette taupe aveugle qu’était l’image qu’elle avait d’elle-même. Elle avait 20 ans révolus, et elle n’avait pas débuté sa vie. Mais ce changement, synonyme de renouveau pour Georgie, fut plutôt un symbole de feu. Un feu, qui débarrassa le plancher de toute fondation. Purificateur, en un sens, mais surtout destructeur. Le feu de la mort, le feu du deuil et de la colère, lorsqu’une nuit de septembre 2014, Kingsley et Adelina Sargent, présents à Rome à l’occasion du déménagement de leur fille, furent assassinés par une chasseuse d’ombre. Leurs corps, laissés à l’abandon, aux côtés du vampire qui avait signé leur acte de mort. Certains lui soufflèrent d’un air mortifié qu’il lui fallait se reconstruire, tourner la page, faire son deuil. Elle ne leur répondait que par un regard courroucé : elle n’avait pas la force de se reconstruire, elle ne voulait pas tourner la page, faire son deuil était un concept obsolète. Tout ce qu’elle connaissait avait disparu, ou était chamboulé. Elle avançait sur des rondins de bois, usés et glissants, recouverts de mousse, sur une étendue d’eau déchaînée : et même plusieurs années après, elle ne sait toujours pas quelle force surhumaine l’a empêchée de sombrer, contre toute attente. Dans une tentative peut-être de se débarrasser de cette peau qui avait subi ces traumatismes, elle se mit à porter des lentilles, elle changea sa garde-robe de tom-boy pour des tenues formelles et féminines. Elle éclaircit ses cheveux déjà blonds, changea de coupe. Tout ceci semblait étranger, au début : elle ne se sentait pas elle-même, elle n’était pas cette jeune femme « féminine » et « distinguée ». Mais elle ne supportait plus d’être elle-même, elle trouva du réconfort dans cette identité qui n’était pas tout à fait à elle : et la Georgie du passé et celle du futur fusionnèrent l’une en l’autre, pour donner un hybride qui finit par atteindre un certain équilibre, tout juste alors qu’elle finissait enfin par être diplômée. Elle acheta un chat, pour se tenir compagnie : car si elle s’ouvrait davantage au monde, la vie restait malgré tout souvent solitaire. Aujourd’hui ? Georgie est une jeune femme passionnée : elle a hérité du feu de ses origines italiennes. Lorsqu’elle a une opinion, vous seriez bien joueur de vouloir l’en débarrasser : elle a le jugement lent, mais ferme. Elle porte en haute estime sa profession de médecin : rien n’a plus d’importance pour elle que de prendre soin de ses patients et de donner toute sa force et son énergie dans son travail. Il est hors de question pour elle de n’être présente qu’à demi, de flâner dans les nuages ou d’être dissipée : qu’il pleuve, qu’il vente, qu’elle soit dans un bon ou un mauvais jour, elle a acquis ce principe d’autoprotection qui lui permet d’évincer toute pensée étrangère à l’hôpital. Mais lorsqu’elle rentre chez elle, le soir, les fantômes et les démons n’en sont que plus déchaînés. Elle a aussi le sens de la famille : elle a longtemps été entourée par ses parents, occasionnellement par sa famille italienne au cours des vacances. Mais lorsque ses parents sont morts, elle a dû se construire une nouvelle famille, qu’elle n’avait pas construite lors de ses 3 premières années de faculté, trop obsédée par ses livres et ses cours. Elle n’est pas très entourée, mais elle serait prête à tout pour ces quelques personnes. Diane est sûrement la première personne qu’elle tient en si haute estime : elle est arrivée quand la douleur était à son pic, quand elle était si forte qu’elle la paralysait. Chaque journée était un combat, chaque inspiration était une opposition aux instincts de son corps, qui aurait sûrement voulu s’étendre sur le sol froid et attendre, peut-être jusqu’à ce que mort s’ensuive. Mais Diane était là, pour une raison étrange ; le destin, peut-être. Comme un ange débarqué, en réponse aux appels au secours silencieux de la jeune femme. Elle aime partager ce côté chaleureux qu’elle a en elle, mais qu’elle ne dévoile que trop rarement. Car de l’extérieur, vous verrez surtout une jeune femme portant des tenues très formelle : une chemise blanche, un pantalon fuseau, de modestes boucles d’oreilles et une montre à son poignet. Des cheveux tirés en un chignon ou une queue de cheval chics, pour garder une vision claire dans l’exercice de ses fonctions. Elle n’est pas particulièrement engageante, elle n’apparaît pas particulièrement amicale. Elle s’est construit des murs, qu’elle a du mal à rabaisser. Les blessures, si elles ne saignent plus, ne sont pas vraiment refermées, car elles sont entretenues quotidiennement par ce monde où créatures obscures et nephilims foulent le sol à la connaissance de tous. Elle n'a pas de réels moyens de cautériser la plaie, ou d'exorciser sa douleur: alors elle subit, en silence. Pour l'instant.
Dernière édition par Georgie Sargent le Lun 20 Aoû - 20:37, édité 6 fois |
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J'ai débarqué à Rome le : 15/07/2018 , j’ai déjà envoyé : 1179 textos, d’ailleurs, j’ai récolté : 98 | Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough Ven 17 Aoû - 22:18 |
| Si t'es une humaine neutre je te mange pas promis Bienvenue parmi nous en tout cas, si tu as la moindre petite question, le staff est à ta disposition pour y répondre, n'hésite surtout pas. J'ai hâte d'en lire plus sur ton personnage Allez du courage |
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| Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough Ven 17 Aoû - 22:22 |
| Bienvenue jeune humaine ^^
Oh faut rejoindre une organisation, pour qu'on s'amuse ensemble *sors* |
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| Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough Sam 18 Aoû - 3:53 |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough Sam 18 Aoû - 10:18 |
| @Georgie Sargent La belle Lili Bienvenue sur le forum ma belle et si tu as besoin, le staff est a ta disposition |
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| Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough Sam 18 Aoû - 11:17 |
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| Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough Sam 18 Aoû - 11:32 |
| @Olympia: j'ai juste une petite dent contre les nephilims, mais sinon je suis neutre et puis tu me dois un restau Merci beaucoup @Cassandra: peut-être que tu devras me recruter, qui sait @Diaz: merciiii @Jeremiah: ouuuuh je te renvoie le compliment merci beaucoup @Diane: merci maman (please don't kill me, i love you) |
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| Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough Sam 18 Aoû - 12:30 |
| yaaay une humaine trop contente ! j'ai hâte d'en apprendre plus sur ton personnage bon courage pour la suite de ta fiche et bienvenue officiellement parmi nous |
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| Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough Sam 18 Aoû - 20:18 |
| Lili, cette beauté Bienvenue ! |
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| Sujet: Re: georgie // only gold is hot enough |
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| | | | georgie // only gold is hot enough |
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