Contexte & cie » Même sur Die ac Nocte, nous possédons quelques règles, un univers bien précis à apprivoiser, à comprendre. Pour ce faire, cette partie a été faite pour vous. C’est ici que vous commencerez votre aventure, que vous trouverez de quoi comprendre le forum.
VOUS LES COPAINS, JE NE VOUS OUBLIERAI JAMAIS
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| have faith in your dreams. (Aphrodite) | |
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| Sujet: have faith in your dreams. (Aphrodite) Dim 16 Sep - 0:20 |
| Aphrodite D'Angelo « all you need is faith, trust and a little bit of pixie dust »
Dernière édition par Aphrodite d'Angelo le Lun 17 Sep - 15:55, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: have faith in your dreams. (Aphrodite) Dim 16 Sep - 0:20 |
| NOS FABULAM NARRAT « wait for me somewhere between reality and all we’ve ever dreamed » Les loups comme nous sont rares, la plupart d'entre nous ne sommes pas solitaires mais nous vivons en meute. Si j'ai choisi de m'éloigner, c'est pour protéger notre famille, Achille. Tu apprendras qu'il y a certaines exceptions dans la vie, qui font que la meute peut devenir secondaire, ne l'oublie jamais. Un jour, cependant, tu voleras de tes propres ailes et alors, il te faudra trouver une meute avec un alpha qui respecteras qui tu es. N'oublie jamais, aussi, que les alphas ne sont pas des dieux. Ils peuvent être détrôner... Aphrodite écoutait, d'une oreille discrète les conseils que son père prodiguait à son frère, en polissant ses nouveaux patins à glace. Ils étaient en train de lire, en transformant les paroles du texte pour l'adapter à la situation de la famille, le journal de leur arrière-grand-père. Aphrodite, elle l'avait déjà lu maintes fois, passionnée d'histoires du monde obscures. La jeune fille de huit ans, sachant à peine lire, passait déjà une grand partie de son temps assise dans la bibliothèque du village, rayon fantastique à s'imprégner d'histoires fausses. Elle adorait rentrer chez elle et comparer la réalité du monde obscure sur tout ce que les humains avaient pu imaginer. Aphrodite, elle était jalouse d'Achille, lui a qui tout réussissait, lui qui avait cette relation si proche avec son père, lui qui avait le gêne du loup, lui qui n'était pas dyslexique, lui qui savait déjà ce que serait son incroyable vie. Elle n'était pas grand chose Aphrodite, cachant sa dyslexie dans le sport, cachant sa jalousie dans le sport. Aphrodite, elle aimait le sport parce que c'était la seule chose dans laquelle elle excellait. C'était l'excuse parfaite pour ne pas rentrer à la maison le soir et observer ce frère tant aimé par ce père, heureux d'avoir un enfant avec les gênes fantastiques. Aphrodite, elle était juste humaine. Fragile. Elle ne voyait pas que tout ce qu'avait fait son père jusqu'à présent c'était pour la protéger, elle et leur famille ; s'éloigner de la meute, la pousser à trouver sa passion dans la vie, l'éloigner de toutes les affaires du monde obscures. Lorsqu'il se rendit compte qu'elle écoutait la conversation, l'homme âgé se leva et ferma la porte, pas pour mettre plus de distance entre eux mais pour que ses oreilles ne soient pas tâchées de tout ce qu'il était forcé d'apprendre à son troisième fils. Elle soupirait Aphrodite, elle qui se passionnait pour ces histoires hors du commun. La jeune fille n'avait pas remarqué le regard de sa mère posé sur elle, insistant et compatissant. Rassurant. Elle vient lui caresser les cheveux, observant les mouvements légers de sa fille sur les lames tranchantes des patins à glace. « N'étais-tu pas à la bibliothèque, plus tôt dans la journée ? » Demanda-t-elle, le plus beau sourire du monde affiché sur ses lèvres. « Oui. Mais je préfère les histoires de papa. Il ne veut jamais me les raconter. » Répondit Aphrodite, la voix râleuse, une moue sur les lèvres. Sa mère eut un rire qui retentit dans le petit salon comme si un ange était venu leur rendre visite. « Ton père ne m'a jamais raconté ses histoires non plus, tu sais. » Dit-la mère, les yeux pétillants. Aphrodite, elle, ne put s'empêcher d'avoir un hoquet de surprise, laissant soudainement tomber l’affûtage de ses patins. « Vraiment ?! Mais, moi je veux savoir ! » Dit-elle, capricieuse. « Ne sois pas si râleuse, Aphrodite. Ton père lui, préfère l'imagination pure des humains parce que la magie que tu as à l'intérieur de toi, elle peut te porter vers toutes les contrées que tu veux, sans règles, sans frontières. Etre humaine est l'un des plus beaux cadeaux, Aphrodite. Tu es libre dans ton cœur. » Répondit la belle jeune femme. Aphrodite, elle avait toujours admiré sa mère, capable de se tenir à des principes si basiques qu'ils en devenaient certainement handicapant ; une femme forte, pleine de caractère et toujours juste envers son prochain. Bienveillante. La jeune fille reprit l'affûtage de ses patins, qui devaient être parfaitement aiguisés pour l'entraînement du lendemain. Elle ne vivait que pour sa Aphrodite, ses histoires de loups et ses escapades sportives. C'est comme ça qu'elle se sentait vivante. C'est comme ça qu'elle aimait la vie, Aphrodite. Aphrodite, elle était allongée au chevet de sa mère. Après la révélation du monde obscure, il y avait eu beaucoup de débordements, entre toutes espèces. Elle priait Aphrodite, elle priait si fort. Son centre d'entraînement lui avait transféré l'appel aussitôt qu'ils l'avaient su ; sa mère s'était retrouvé blessée à cause des soulèvements des catholiques suivant l'annonce du Pape. Les médecins disaient que la blessure lui serait certainement fatale. Elle s'était retrouvée sur le sol, l'estomac coincé sous un lampadaire qui s'était écroulé. Ses organes vitaux auraient été trop abîmés, selon eux. Putain. C'était stupide. Ça n'avait aucun sans. Son père pleurait toutes les larmes de son corps, hurlant au monde entier qu'ils se battraient pour que les créatures obscures paient le prix, eux la cause du soulèvement des humains. Son frère, lui, était persuadés que si les néphilims n'avaient pas mis en place leurs règles depuis des centaines d'années, alors rien de tout cela ne ce serait produit, que tout aurait été différent, qu'il fallait éliminer les néphilims parce qu'ils étaient néfastes pour tous. Aphrodite, elle, tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle allait perdre sa main. Elle se retrouvait au milieu de tout ce bordel. Ça craint. Aphrodite, elle ne pouvait pas compter sur son frère aîné, qui ne s'était même pas déplacé pour le décès de leur mère et encore moins par la petite dernière de la famille, à peine adolescente. Assise sur le tabouret en bois, face à un mur dépourvu de toute décoration, un vase de fleur bientôt fanée sur la table basse accompagné de quelques magazines féminins, elle attendait son tour de visite. Elle savait qu'après la mort de sa mère, son père devra se rapprocher de sa meute malgré la confiance perdue, de sortir de la campagne de Rome, pour rejoindre le centre ville. Elle ne voulait pas y penser, Aphrodite. « Mademoiselle, elle souhaite vous parler. » Annonça l'infirmier chargé de sa santé dans les derniers moments de sa mère. Difficilement, alors que ses jambes pouvaient à peine la porter, elle essaya de ravaler ses larmes sans succès, coulant silencieusement sur ses joues, se levant pour aller s'asseoir au chevet de sa mère. La femme abordait toujours ce sourire d'ange, si bien qu'Aphrodite ne comprenait pas d'où elle tirait son courage. « Ne pleure pas. » Lui dit sa mère sur le ton le plus gentil du monde. Aphrodite, elle s'était promis de ne pas craquer et pourtant... « Maman... Non... Je t'aime. J'ai besoin de toi... Je suis pas capable moi, sans toi. Tu es toute ma vie, maman... » Sa mère, pourtant faible trouva le courage d'entourer ses bras autour de sa fille, la berçant doucement. Aphrodite s'était allongée près d'elle, les larmes coulant toujours sur son visage. Sa mère souhaita la regarder droit dans les yeux. « Ecoute-moi, Aphrodite. Promets-moi de ne jamais oublier d'être courageuse. Promets-moi d'être généreuse avec ton prochain. Promets-moi de toujours garder cette lueur d'espoir allumée dans ton cœur. Tu n'as pas besoin d'être un être fantastique, Aphrodite. L'amour est la forme de magie la plus puissante. Ce qui mène à l'amour, dans ce monde si triste, Aphrodite, c'est la bienveillance. Je veux que tu sois courageuse, bienveillante et que tu pardonnes. Promets-le moi. » Aphrodite, elle fit la promesse. Aphrodite, elle ne se souvient pas très bien de ce qu'il s'est passé ensuite. Son cœur s'était un peu éteint. Les jeux olympiques. Quelques semaines après le décès de sa mère, Aphrodite, elle était retournée dans son internat. Tout s'était compliqué à la maison et son père, soucieux de la préserver de ce frère toujours plus menaçant et toujours plus proche d'Aphrodite, ayant beaucoup d'influence sur elle, a choisit de la convaincre de reprendre ses projets de patinage artiste. Parce que c'est ce que sa mère aurait voulu. Sur ça, les deux hommes étaient tombés d'accord. Aphrodite devait poursuivre ses rêves pour ne pas se perdre dans les néants de son attirance vers le monde obscure. Elle aimait vraiment ça, patiner. Elle était vraiment douée, aussi. Médaille d'argent à ses seize ans, elle espérait emporté l'or cette année. Tout le monde était persuadé qu'Aphrodite d'Angelo serait la prochaine championne olympique de patinage artistique en solo. Dès ses huit ans, elle avait été placée dans une école spécialisée, rentrant chez elle deux week-end par mois. En parallèle, on leur permettait de faire des études. Peu désireuse de faire de longues études littéraires, Aphrodite avait choisi de faire quatre ans d'université à distance pour être infirmière. Avec son statut d’athlète de haut niveau, elle avait le droit d'étendre ses stages sur l'année en faisant quelques heures par semaine qui ne perturberaient pas son entraînement. Pour l'occasion, sa famille s'était déplacée. Elle nouait ses lacées pensant à sa mère, à quel point elle serait fière de la voir revenir sur la glace. Alors que sa concurrente finissait sa chorégraphie, Aphrodite était impatiente de sentir l'adrénaline. La patinage lui donnait les sensations qu'elle n'avait pas en n'héritant pas du gêne de loup-garou ; la vitesse, le danger des sauts, le vent dans ses cheveux, la transformation qui s'opérait en commençant une compétition. Tout était relié à l'adrénaline, au cœur qui s'affolait. C’était bon. Aphrodite, se leva, habillée d'un magnifique costume rouge bordeaux, pour rejoindre le centre de la patinoire lorsque les juges appelèrent son nom. Elle avait travaillait si dure. Après être passé si près du graal, il y a quatre ans, elle se refusait d'échouer cette fois-ci. Elle souhaitait juste que sa mère soit présente, décédée il n'y a même pas une année. Cette pensée la fragilisa sans qu'elle s'en rende compte, alors qu'elle mettait ses bras de danseuse en place. En plus des entraînements de patins, il fallait apprendre l'élégance de la danse classique. Des heures. Des semaines. Des années. Une vie de travail. Elle enchaînait les sauts et les figures avec élégance et souplesse. Année maudite. Elle aurait dû le savoir. Sa lame, mal accrochée, un défaut du patin, se décrocha provoquant une chute impressionnante en plein atterrissage. Elle ne put pas se relever, Aphrodite. Les ligaments du genoux déchirés, une cicatrice à vie sur son bras droit à cause de la lame venue la percuter, c'était la fin de sa carrière professionnelle. Elle pourrait remonter sur des patins, elle pourrait encore se faire plaisir mais plus jamais elle n'aurait le niveau pour faire des jeux olympiques. Encore plus, elle n'a toujours pas retrouvé le courage de retrouver la piste de glace, Aphrodite. Le cœur déchiré par cette tragédie. Année maudite. Son cœur qui s’éteignait un peu plus. Aphrodite avait entrepris sa profession d'infirmière, devenant assistante d'un médecin et faisant une année supplémentaire pour pouvoir travailler en hôpital. Elle ne parlait plus beaucoup, se souvenant à peine de la promesse faîtes à sa mère. Elle se sentait vide, Aphrodite. Vingt ans, sans mère et sans rêve. Pourtant, certains avaient perdu tellement plus qu'elle n'arrivait pas à se plaindre malgré son cœur émietté. Aphrodite, elle essayait de se perdre dans ses histoires fantastiques à nouveau, passionné du monde dans lequel vivait son père et son frère à nouveau. Ne souhaitant plus être au milieu de leurs querelles incessantes, elle avait choisi de prendre son propre appartement. Son père avait pris la décision de rejoindre une meute protégeant les néphilims, coupant tout contact avec Achille. Son frère, lui, avait rejoint une meute essayant de faire la guerre à ces êtres mi-ange, mi-humain. Sa famille était déchirée de l'intérieur, tout comme l'était Aphrodite. Au plus profond d'elle-même, elle avait honte, heureuse que sa mère ne soit pas présente pour voir comment ils avaient évolué. C'était un ultimatum que lui avait donné son père, à Aphrodite. « Tu viens avec moi. Ou tu pars avec lui. Mais je ne regarderai pas ma fille descendre en enfer. » Avait-il craché. Ne supportant plus ce besoin que son père ressentait de la protéger en la coupant de tout ce qui se rapporte au monde obscure, c'est son frère qu'elle avait suivi, Aphrodite. Ce frère si sanguin ne correspondait pas à son caractère doux. Au fond d'elle-même, elle était la même que sa mère. Si elle l'avait suivi lui, c'est quelque part qu'elle pensait pouvoir le sauver. Bienveillante. Sa famille, elle ne la perdrait pas et elle la reconstruirait, Aphrodite. Elle se reconstruirait, elle et son cœur brisé. C'est le jour où elle l'a rencontré que tout à changé. Elle qui avait tou perdu, sa noirceur ranimait quelque chose en elle qu'elle n'avait ressentie depuis longtemps. Cette adrénaline. Ce plaisir de l'inconnu. Cette lueur du monde obscure, la magnifique. Ce plaisir de sauter avant de retomber, comme sur ses patins. C'était les sentiments au fond de son estomac qu'elle avait oublié. Zaccaria V. Esposito. L’inaccessible. Le contraire d'elle-même. Il lui fallait du courage. Il lui fallait être bienveillante. Il lui fallait même pardonner. Quelque part, elle se rapprochait de sa mère. Elle se rapprochait de son père. Elle revoyait leur histoire et elle s'imprégnait un plus de cet homme à chaque rencontre. Aphrodite, elle savait pas comment ça allait finir. Aphrodite, elle savait pas comment décrire ces sentiments étranges. Aphrodite, elle savait simplement qu'être avec lui, ça la rendait vivante à nouveau. Sauf que ça la brisait encore plus. Sauf que ça l'attirait vers la noirceur. Elle voyait pas Aphrodite, qu'elle jouait ses ailes. Tout ce qu'elle pouvait voir, c'était le moment présent. Excitant. Son frère avait le sang chaud. Il était le stéréotype italien par excellence avec ses cheveux longs et en bataille, son nez long, ses traits fins, sa gestuelle lorsqu'il prenait la parole et son impulsivité agaçante. Il faisait parti de la même meut de Zaccaria et sans savoir vraiment comment, les deux étaient arrivés à traîner ensemble pas mal de fois. Deux caractères forts, signifiait forcément des bagarres. Aphrodite, elle s'inquiétait souvent. Têtue, franche, méfiante parfois, son attirance avec Zaccaria se mêlé à une certaine tension. Elle savait que l'homme était comme son frère, pire même. Ce jour-là, c'est par hasard qu'elle avait rendu visite à son frère. Ce jour-là, tout s'est accéléré, tout a pris un autre tournant dans sa tête. Aphrodite, elle avait eu peur d'abord, avec cet instinct de protéger son petit frère quitte à perdre la vie. « Qu'est-ce que... hé ! Esposito, tu lâches mon frère immédiatement ! » S'était-elle entendu hurler, folle de rage. Puis, sans réfléchir, elle s'était jetée sur lui en attrapant une batte de baseball qui trainait dans un coin, à l'extérieur du garage face auquel ils se trouvaient. Pas qu'elle voulait le blesser mais elle vivait avec des loups depuis son enfant et elle savait sans même réfléchir qu'à mains nues, elle faisait pas le poids, Aphrodite. Sauf que ça n'avait pas suffit et que les instincts du loup étaient déjà réveillés, alors en se retournant, il la frappa tellement fort dans les côtés qu'il lui en brisa deux. Sur le sol, la jeune fille fut persuadé d'avoir été profondément griffée et avant de perdre connaissance, elle sentit cette sensation étrange de plénitude comme si elle redevenait quelqu'un après avoir perdu toute son identité. Sauf qu'Aphrodite, elle a jamais eu vraiment le temps de la retrouver son identité. Elle a jamais vraiment pu se reconstruire. La sensation qu'elle a eut cette nuit-là, elle ne saurait dire si c'était se retrouver ou rencontrer encore une fois l'adrénaline qui la fera plonger plus profondément en brisant son cœur. Ce qu'elle sait, c'est qu'elle a un nouveau but dans sa vie, elle veut être un loup, elle veut être à ses côtés. C'est comme ça qu'elle se retrouvera et c'est comme ça qu'elle le trouvera lui. Aphrodite, elle venait de trouver une nouvelle définition pour être courageuse et bienveillante. Puis, elle lui a pardonné, à Zaccaria. Maintenant, Aphrodite sait comment fait, elle ne va plus se cacher, elle va montrer au loup la femme qu'elle est, jusqu'à le faire craquer. Dans tous les sens du terme.
Dernière édition par Aphrodite d'Angelo le Dim 16 Sep - 5:43, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: have faith in your dreams. (Aphrodite) Dim 16 Sep - 2:53 |
| MON BÉBÉ N'HUMAINE. LAISSE MOI TE TE MANGER CONVAINCRE, TE PROTÉGER, TE TRANSFORMER. |
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| Sujet: Re: have faith in your dreams. (Aphrodite) Dim 16 Sep - 2:56 |
| MON MECHANT LOUP-GAROU. Tu peux rêver, Aphrodite elle veut que Zacc comme créateur Mais le reste ça se discute, tu sais. |
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| Sujet: Re: have faith in your dreams. (Aphrodite) Dim 16 Sep - 3:05 |
| Rebienvenuuuuue Très bon choix de scénario! Aphrodite est trop cool C'est toujours un plaisir de lire ta plume Bon courage pour la suite de cette fiche déjà bien entammée |
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| Sujet: Re: have faith in your dreams. (Aphrodite) Dim 16 Sep - 5:22 |
| Rebienvenuuuuuuuue Quelle fiche, quel perso, j'suis fan A la revoyure sur le fofo |
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| Sujet: Re: have faith in your dreams. (Aphrodite) Dim 16 Sep - 11:21 |
| Ow re-bienvenuuue J'ai de voir ce que tu vas faire de ce scénario en rp Mais je pensais que britt était déjà joué |
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| Sujet: Re: have faith in your dreams. (Aphrodite) Dim 16 Sep - 11:54 |
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| Sujet: Re: have faith in your dreams. (Aphrodite) Dim 16 Sep - 11:59 |
| Rebienvenue Ce personnage omg |
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| Sujet: Re: have faith in your dreams. (Aphrodite) |
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| | | | have faith in your dreams. (Aphrodite) |
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