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VOUS LES COPAINS, JE NE VOUS OUBLIERAI JAMAIS Please, do not flee me. - Kaled 2521561984
Après une jolie année, DAN ferme ses portes. Vous pouvez lire les petites explications et les petits mots du staff ici Please, do not flee me. - Kaled 3308333368
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 Please, do not flee me. - Kaled

         

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MessageSujet: Please, do not flee me. - Kaled   Please, do not flee me. - Kaled EmptyMar 21 Aoû - 13:59

Please, do not flee me.


Mon regard glisse sur lui…Ce loup avec sa compagne. Deux solitaires, deux proies potentielles pour intégrer la meute de Shadow. Et pourtant, ce n’est pas vraiment elle que je regarde, mais bien lui. Il a ce petit quelque chose qui ne me fait pas détourner les yeux et ce, même quand il voit que je l’observe. Non, je le regarde, j’imprime son odeur dans ma mémoire pour ne pas oublier, pour ne pas l’oublier. Je reste éloigné, parfois, je m’égare vers un autre endroit pour ensuite, le retrouver parmi les odeurs. Si je suis doué en tant que tortionnaire, je suis également doué pour traquer quelqu’un. Mais jamais, je ne le perds, pas vraiment du moins. Parlant avec quelques membres de la Brigade Nocturne, je finis par m’éloigner un peu trop et, quand je reviens, sa sœur est toujours là mais pas lui…Un grondement sonore s’échappe de mes lèvres et je m’approche discrètement pour humer son odeur. Elle me mène vers l’arrière du château. Traversant le jardin, j’arrive jusqu’au labyrinthe ou seule son odeur est perceptible. Il est seul, du moins, nous somme seuls actuellement dans les parages. Mon regard, il devient jaunâtre, laissant le loup prend une petite partie de contrôle. Me transformer ici serait débile, davantage alors que je n’ai pas spécialement de raisons de le faire…Je suis à l’air libre, dehors et je traque quelqu’un sans vraiment savoir pourquoi. Pénétrant dans le Labyrinthe, je laisse mon odorat et mon ouïe faire le travail. Suivant le même trajet que le jeune homme, de plusieurs années mon cadet, je sens que je me rapproche. Entendant un bruit dans l’autre couloir, je lève les yeux et fait un bond en l’air pour retomber de l’autre côté avec souplesse, juste devant la personne que je recherchais actuellement. Pas de sourire, pas d’émotions, je me contente de tourner les yeux vers lui alors que je me redresse lentement. Prédateur, voilà à quoi je ressemble à l’heure actuelle. Une fois debout, je me positionne totalement face à lui. « Perdu ? » Demandais-je simplement, comme si c’était une évidence…Une chose est certaine, je n’étais pas discret, pas là-dessus et donc, il devait se douter que je le suivais. « Je ne suis pas là pour te faire du mal…ne t’inquiète pas. » Dis-je en lissant ma veste de costume convenablement, comme pour effacer des plis invisibles. Mon regard jaunâtre reprend un teint marron, effaçant le loup en moi pour ne laisser place qu’à un humain…plus animal qu’humain d’ailleurs. Reportant ensuite mon attention sur le jeune homme, j’observe ses traits, ses iris…j’observe comme si il m’intriguait, comme si j’étais curieux de celui qu’il est. « Je ne t’ai jamais vu dans les parages…ni toi, ni ta compagne. » Dis-je simplement en lui bloquant le passage, l’empêchant d’avancer. « Je suis curieux…que viens-tu faire ici ? Tu n’as pas l’odeur d’une meute. » Murmurais-je en approchant pour mieux le sentir, l’odeur de la femelle est sûr lui. « Non…juste celle de la fille…ta petite amie ? » Demandais-je soudainement plus curieux que nécessaire, alors que je m’approche davantage, réduisant la distance qui nous sépares.

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MessageSujet: Re: Please, do not flee me. - Kaled   Please, do not flee me. - Kaled EmptyVen 24 Aoû - 11:40


Please, do not flee me
Feat Zacc
La soirée s'écoule et j'ai l'impression que le temps a étrangement ralenti, comme si trop de chose s'y déroulait pour qu'il puisse se permettre de passer normalement. Ma sœur parle, à côté, et je sais que ce sont des choses très certainement importantes mais je suis juste trop distrait pour y prêter réellement attention. Je repasse les événements, ce qui s'est dit, ce qui a été sous-entendu, je repasse le début de la soirée et mon regard se perd dans la foule brièvement. J'ai cette sensation, juste dans un coin de mon esprit qui me signale depuis un moment que je suis observé, de manière sporadique, certes, mais observé tout de même. En vrai, ça dure depuis presque le début et ça a quelque chose de perturbant, réellement. Mon regard se fige soudainement sur un autre qui me fixe sans même se détourner quand il se rend compte que je l'ai repéré et je plisse un peu des yeux, reconnaissant l'homme – ou plutôt le loup – qui me regarde. Il ne le détourne pas et je reste quelques instants de plus à lui rendre son regard avant de finalement me détourner, toujours aussi incertain sur ce que je suis censé faire. Si ce loup est réellement intriguant, ça n'explique pas vraiment pourquoi lui m'observe comme ça. Que moi je le fasse, okay, je veux dire hey, il donne envie qu'on l'observe, clairement. Malgré l'aura de danger qu'il a autour de lui – ou bien celle-ci ne fait qu'accentuer cette envie ? C'est tout aussi possible. Mais l'inverse me rend perplexe.
Je reste encore un moment à l'intérieur, souriant et faisant mine de donner le change avant que le besoin de sortir ne se fasse simplement trop urgent. J'ai fait de mon mieux, vraiment, mais ça commence à faire un moment qu'on est ici et même ce bref moment dans le jardin, plus tôt, n'a pas exactement aidé à ce que je me détende, bien au contraire. Et mes mouvements nerveux commencent un peu à se faire repérer alors, avant que ma sœur ne commence vraiment à s'inquiéter, je me rapproche d'elle pour lui murmurer rapidement que je vais juste prendre l'air. Je m'écarte et secoue la tête quand elle me rend mon regard en me demandant silencieusement si elle doit m'accompagner et, sur un dernier sourire – et un dernier coup d’œil en arrière pour voir si l'autre loup est toujours dans le coin – je m'éclipse.

J'atteins le jardin assez rapidement mais grimace faiblement en constatant qu'il y a pas mal de monde présent. Je voudrais juste un moment tout seul, histoire de respirer, de reprendre un peu de calme et d'oublier que la foule et moi, actuellement, on est pas trop ami. Je repère le labyrinthe un peu plus loin et, sans réellement y réfléchir je m'y engouffre, satisfait de ne sentir aucune autre odeur particulière ; outre celle des fleurs qui ne me dérangent pas plus que ça. Doucement, je commence à marcher, les sens aux repos – et non plus surexploités par l'environnement de la fête - et mon corps se détendant malgré tout à nouveau. C'est assez agaçant, après toutes ces années à n'avoir aucun soucis avec mon loup – merci l’entraînement de papa – d'avoir l'impression que je suis retourné au point de départ à ce niveau, vraiment. Frustrant, aussi.
Soudainement, quelque chose interpelle mes sens et je relève la tête, inspirant, écoutant mieux. Une autre odeur à rejoint la mienne et je peux percevoir un bruit de pas qui ne fait même pas l'effort d'être discret. Un claquement de langue m'échappe, mélange d'irritation et de surprise intéressée en reconnaissant l'odeur qui se rapproche. Encore lui, bien sûr. Pourquoi bien sûr ? Peut-être que c'est parce qu'il fallait forcément une suite à ce qu'il se passait à l'intérieur. Je secoue la tête et accélère un peu le pas, me faufilant dans un couloir parallèle essayant de voir s'il y a bien une histoire de filature la dedans. Je n'ai que le temps de faire quelques pas avant que, dans un bond souple, une silhouette n'atterrisse juste devant moi, me faisant reculer d'un bon pas, mes dents emprisonnant sèchement ma langue pour retenir l'exclamation de surprise qui a voulu s'échapper. Son regard se pose sur moi, doré et prédateur, attirant l'ambre dans mes propres yeux, éclaircissant leur marron foncé habituel. Un grondement d'avertissement m'échappe alors que je lui jette un regard méfiant, l'inquiétude m'envahissant. Je le sens gratter à l'intérieur, mon loup, prêt à prendre le dessus pour me défendre mais je me contiens, régulant ma respiration pour calmer mon corps et calmer cette partie de moi trop sauvage. C'est une fois face à moi qu'il fini par me parler, « Perdu ? » Je renifle presque dédaigneusement, relevant le menton en fixant mes yeux dans les siens, « Pas du tout, j'étais parti faire une balade dans ce labyrinthe dans le simple but de vérifier si des gens me suivaient ou non. » Je rétorque, ironique.  « Je ne suis pas là pour te faire du mal…ne t’inquiète pas. » Je fronce un peu le nez, peu sûr de ça, et je suis malgré moi ses mouvements du coin de l'oeil. Ça n'est pas que j'ai peur... Bon, d'accord, peut être un peu parce que merde, c'est flippant quand quelqu'un bondit juste devant toi, sans aucun avertissement ni rien. Ses yeux reprennent une teinte humaine et mes épaules se détendent mais, étrangement, pas tant que ça. Comme si je reconnaissais inconsciemment que ça n'était pas parce qu'il avait refoulé son loup qu'il en était moins dangereux.  Il continue de m'observer et sa manœuvre pour me bloquer le passage ne fait que réveiller mon inquiétude, me faisant reculer légèrement : Je déteste être coincé et pourtant je ne fais rien de plus pour me dégager. « Je ne t’ai jamais vu dans les parages…ni toi, ni ta compagne. »  Je hausse les épaules, mes mains glissant dans mes poches pour me donner une assurance que je ne ressens qu'à moitié. Je devrais être plus inquiet que ça en réalité, mais il m'avait déjà tellement intrigué à l'intérieur... « On est nouveau, dans le coin, » Je souffle juste d'un air dégagé.
« Je suis curieux…que viens-tu faire ici ? Tu n’as pas l’odeur d’une meute. » Je m'apprête à répondre mais me coupe moi-même quand il s'avance un peu plus vers moi, inspirant un peu plus mon odeur et me figeant dans le même mouvement, surpris. Je ne recule pas, me contentant de le fixer un peu plus, les sourcils froncés. « Non…juste celle de la fille…ta petite amie ? » Et il se rapproche encore, coupant l'exclamation vaguement horrifiée qui s'apprêtait à m'échapper à cette supposition. Désormais il est bien trop près que la convenance l'exige, empiétant dans mon espace personnel sans remords... Et je ne recule toujours pas. Ca pourrait être pris comme preuve de faiblesse, non ? Ou juste comme manifestation de peur... Ou peut être que j'ai simplement pas envie de reculer, aussi. Je finis par secouer la tête, grimaçant faiblement , me souvenant subitement de la question « Eww, non. C'est ma sœur, ma grande sœur, absolument pas ma compagne. On vite ensemble, c'est pour ça, l'odeur...» Je fronce soudain les sourcils, me rappelant ce qu'il vient de dire et je penche la tête en l'observant, inspirant à nouveau brièvement, profitant de notre proximité pour prendre une bonne bouffée de son odeur, « C'est ça alors, ce truc en plus que j'arrivais pas à identifier... C'est l'odeur d'une meute, tu fais partie d'une ? » L'intérêt transpire à travers mes mots et je me mords la lèvre, hésitant, esquissant finalement un pas en arrière sans pour autant achever le mouvement. Il y a toujours cette aura sauvage, cette odeur intéressante et, vraiment il est intéressant ; et certainement dangereux aussi. « On a emménagé ici. Ce qu'on vient faire ici... Un certain nombre de choses dont je ne suis pas sûr que ça soit tes affaires. » Je fini par sortir d'un ton bas, mon regard croisant à nouveau le sien, un haussement de sourcil venant souligner mes mots. Après tout pourquoi est-ce que je devrais répondre aux questions d'un loup qui prend un malin plaisir à me coincer avec lui dans un labyrinthe après m'y avoir soigneusement traqué ? J'aime bien trop jouer avec le feu pour ça.
©️ FRIMELDA



@Zaccaria V. Esposito
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MessageSujet: Re: Please, do not flee me. - Kaled   Please, do not flee me. - Kaled EmptyLun 27 Aoû - 20:17

Please, do not flee me.


Mon instinct me hurle de rester tranquille, de cesser cette traque inutile, inexplicable. Pourquoi ? Pourquoi lutter contre mes envies, mes désirs, mes besoins ? Je n’ai jamais vraiment lutté contre l’animal en moi, ce n’est pas aujourd’hui que je vais commencer. Le seul véritable changement dans cette situation, c’est que Kaled est un homme…Un loup du sexe masculin, une personne qui n’a pas les attributs que je désirs et qui m’intrigue en règle générale. Trop jeune, trop instable, sans attaches, sans meute, il est tout ce que je ne suis pas, ce que je n’ai jamais véritablement été. Mais je continue à humer l’air, retrouvant cette senteur mélodieuse qui m’indique le chemin comme un panneau de signalisation au milieu d’une route étroite. Je sais que je ne devrais pas, que je ne dois pas…alors pourquoi continuas-je à avancer ? Pourquoi m’apprêtais-je à bondir au-dessus de cette haie sans grandes complications pour retrouver ce qui est, ce soir, considéré comme une proie ? Une question qui restera sûrement sans réponse, qui n’aurait jamais sa lumière. Mes muscles se crispent et mon corps s’élance pour atterrir devant lui, devant celui que je cherche, que je traque comme un animal blessé…mais pas pour le bouffer, pas pour en faire mon quart heure…non, là est la grande différence. Mon regard jaunâtre se pose sur le jeune loup, le dévisage, le dévore sans aucune retenue, sans cacher quoi que ce soit. La gêne ne fait pas partie de mon vocabulaire. Un loup n’a jamais de honte, n’a pas de gêne…seuls les instincts primaires dictent mes pas. La colère, la peur, l’envie, la faim, le besoin de préservation. Même l’amour semble s’être effacé et pourtant, les loups ne sont pas dépourvus de sentiments plus tendres, pas à ma connaissance. Ses paroles me font pencher la tête sur le côté, bien que mes iris ne lâchent rien. « Tu vois, tu n’es pas suivi. » Ironie certaine vu mon sourire arrogant et amusé qui vient étendre très légèrement mes lèvres, comme une provocation, un amer amusement. Bien sûr qu’il est suivi, par moi. Je le suis, je l’observe, il m’intrigue assez pour que mon attention se porte sur lui et son regard marron qui reprend sa couleur naturelle…L’animal en moi aurait eu tendance à le faire se plier, à lui montrer que l’agressivité n’apporte que la destruction et la domination. Je suis plus posé, plus calme ce soir au grand air, plus intrigué que jamais et donc, sûrement plus humain qu’en règle générale. Il recule…mauvaise chose, pour lui, parce que mon côté dominant prend davantage le dessus. J’avance, un léger grondement s’échappe de mes lèvres, plus imposant cette fois. Reculer devant moi c’est me donner le champ libre, le libre accès à un pouvoir que j’aime, que j’adore, la domination totale. C’est malsain, mais c’est ainsi. Je continue de parler, ne gardant pas le silence. J’essaye de mélanger loup et humain, garder l’esprit à l’affut. Il est nouveau… « Je m’en serais douté. » Dis-je simplement, comme si ses mots n’avaient guères de sens alors que j’hume de nouveau l’air, cherchant une odeur, n’importe quoi qui m’en apprendrait davantage sur cet étrange loup qui éveille des instincts bien plus animés. Il fait un mouvement de recules, mais cette fois-ci, il ne fait que le mouvement, ce qui en soit, calme mes ardeurs. Ce n’est pas pour autant que je m’éloigne, non, je parle et l’écoute. Ce n’est pas sa compagne, c’et sa sœur… « Mh…ton odeur est différente de la sienne. » Murmurais-je. Généralement, les frères et sœurs ont une odeur qui se rapproche énormément, pas eux. Mais, d’une façon assez énigmatique, le fait qu’il m’annonce que c’est sa sœur et pas sa compagne semble me ravir. C’est à sa tour de me sentir et je le laisse faire, fronçant les sourcils face à ses mots. « Oui…une des deux grandes meutes de Rome…tu n’as jamais été en contact avec une meute ? » Ce garçon est une énigme attirante et enivrante. Face à ses dernières paroles je souris d’une façon extrêmement arrogante et malsaine. Je fais un pas de plus, la proximité de nos corps est moindre, extrêmement moindre. Je laisse cette aura m’enivrer, mon regard le fixer alors que je fais preuve d’une dominance plus que palpable mais pas agressive pour autant. Non, j’agis comme un animal, pas comme un être humain, au fond, j’en ai conscience mais je ne parviens pas à voir le monde autrement. « Ce ne sont pas mes affaires ? Alors pourquoi semble-t-il que tu me parle quand même ? Passons un marché… » Murmurais-je alors que je peux aisément sentir son souffle contre mon visage, mon regard toujours plongé dans le sien. « Dis-moi ce que tu viens faire ici et moi, je te montrerais ce que la vie en meute signifie… » Murmure sombre et rogue, énigmatique alors que ma main droite se lève et que mes doigts frôlent sa joue. « Ne me dis pas qu’un jeune loup comme toi ne ressens pas cette envie…cette sensation étrange qui te ronge doucement de l’intérieur, qui t’attire vers les tiens… » Murmure de plus en plus bas, de plus en plus sombre… « Courir avec les tiens, sentir cette odeur singulière, cette reconnaissance face aux tiens…faire partie de quelque chose de grand, te dire qu’au fond… » Mon visage approche, bifurque vers son oreille. « …tu n’es jamais seul. » Je ne sais pas trop à quoi ça rime, mon comportement est dangereux, est différent, est sincèrement étrange. Il pourrait être relié à deux idées ; l’intimidité et la sensualité. Et pourtant, moi qui suis le premier concerné, ne fait que suivre ce que je désir, ne me braque pas, ne me retiens pas. Je ne fais qu’agir selon mes propres envies, mes propres instincts et là, ceux-ci me dictent littéralement. Je recule enfin d’un pas, libérant notre proximité pour établir une distance que j’inflige moi-même. Mon regard n’a pas changé, je suis redevenu un homme totalement neutre et sans émotions.

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